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Mission:

Cold War

"Mission avec lancés de dés"

La colère gronde partout sous l'influence néfaste de Lex Luthor. Les habitants de Metropolis ne veulent pas des héros surpuissants qui ne font qu'amener plus de problèmes. Un groupe extrémiste de cinq meta-humains décide alors de se venger de ces gens qui les méprisent. Par colère. Par lassitude. Tous dispersés dans Métropolis, ils veulent frapper fort avec des attentats. Le premier n'est pas évité, un café populaire est détruit, avec plusieurs victimes innocentes à déplorer. @Clark Kent et @Loïs Lane, ainsi que @Diana Prince-Trevor et @Steven Trevor, profitaient tranquillement de leur soirée quand les attaques ont commencé.

Objectif de la missions : arrêter les 5 terroristes tout en subissant la colère des habitants de plus en plus apeurés.

Compétences bonus : Pro de la discrétion et de l'infiltration ; Intuition aiguisée ; Empathie.

Sur Gods & Monsters, les missions et les intrigues se jouent obligatoirement aux lancés de dés. Vos réponses sont aussi contraintes par un rythme et un nombre de mots déterminés d'avance qu'il se faudra de respecter. Cette première salve se veut une introduction aux mécaniques de jeu et se fera, exceptionnellement, sans l'intervention de Doomsday Clock.

Délai de réponse:

Vous disposez de 72 heures pour poster votre rp. Au-delà de ce délai, votre tour sera sauté et ce sera au prochain joueur de répondre au sujet. Vous pourrez alors:

1. Poster à la toute fin du tour pour rattraper votre retard;
2. Passer définitivement ce tour et attendre le suivant;

Bien évidemment, si vous savez d'avance que vous ne serez pas en mesure de répondre à la mission dans les temps, nous vous demandons de bien en informer vos alliés sur les chats discord appropriés afin qu'ils puissent relancer sans attendre inutilement.

Si trois tours s'écoulent sans que vous ne répondiez à la mission, les points d'expérience vous seront retirés par souci d'équité. Vous pourrez toutefois continuer à participer au sujet selon les lignes directrices établies.

Nombre de mots:

Afin de ne pas s'étaler sur des pages et ainsi permettre aux autres membres de mieux suivre l'avancement de la mission, veuillez limiter vos rps entre les 300 et 500 mots.

Lancé de dés:

Histoire d'ajouter une touche d'imprévisibilité au déroulement des évènements, nous incorporons également la règle du lancé de dés.

Le principe est simple: Parmi toutes les actions entreprises par votre personnage, l'issue de la plus significative d'entre elles sera impérativement confiée au hasard. Pour se faire, vous devrez proposer, à la fin de votre post, trois possibilités - Une réussite, une impasse et un échec - puis lancer le dé afin de déterminer laquelle des trois s'appliquera. Par exemple:

Action positive : Batman parvient à désarmer le criminel et continue sa route.
Action neutre : Batman parvient à désarmer le criminel mais d'autres font leur apparition.
Action négative : Batman ne parvient pas à désarmer le criminel et se fait frapper au visage.

Les probabilités de base sont les suivantes:

1 à 5 : Réussite
6 à 15: Impasse
16 à 20: Échec

Vous pouvez utiliser l'une des trois compétences choisies à votre inscription pour influer sur les probabilités ci-haut mentionnées. Si tel est le cas, spécifiez la compétence en question à la fin de votre réponse. Vous pourrez alors augmenter vos chances de réussite et minimiser les risques d'une impasse d'un point pour chaque niveau atteint. Par exemple:

Niveau 1 : 1 à 6 (+1) sera désormais une réussite, 7 à 15 une impasse. 16 à 20 demeure un échec.
Niveau 2 : 1 à 7 (+2) sera désormais une réussite, 8 à 15 une impasse. 16 à 20 demeure un échec.
Niveau 3 : 1 à 8 (+3) sera désormais une réussite, 9 à 15 une impasse. 16 à 20 demeure un échec.

Si la compétence utilisée figure parmi les compétences bonus mentionnées dans l'introduction de la mission, vous pourrez rajouter, en plus, un point de réussite, cette fois-ci contre un point d'échec. Par exemple:

Niveau 4 + compétence bonus: 1 à 10 (+4 niveaux, +1 bonus) sera désormais une réussite, 11 à 16 une impasse, et 17 à 20 un échec.

Une fois le dé lancé, rayez les deux actions inutiles pour que le prochain joueur comprenne le déroulé de votre post. Il faudra jouer selon et avec les conséquences de chaque lancé.

Si à la fin de la mission les adversaires sont battus, vous gagnez et la mission s'arrête.

cold war

@Diana Prince-Trevor - @Loïs Lane
@Steven Trevor - @Clark Kent

Trop rares te semblent les moments partagés entre amis sans qu’il ne soit question de capes, de grands génies criminels ou de super menaces venu des tréfonds de ce monde ou de l’espace infini. Entre la création de la ligue, les différences de tout un chacun, la catastrophe de Gotham et l’élection de Luthor, il y avait plus que fort à faire. Mais tout héros que l’on est, se laisser submerger par tout cela en oubliant l’essentiel de l’existence serait une grave erreur. Ce pour quoi l’on se bat doit demeurer cette aspiration de paix, de tranquillité, de justice mais également d’harmonie. Et rien ne peut mieux illustrer cela à tes yeux que ce simple repas partagé ensemble, autour de cette table. Juste le couvert de l’anonymat et d’une identité civile. Superman et Wonder Woman ne sont alors que Clark Kent et Diana Prince. Deux amis à l’allure on ne peut plus normale, en compagnie de leur moitié respective pour se remémorer quelques instants la satisfaction que cela apporte de vivre ‘normalement’. Échange de sourires. Échange de rires. Échange de sujets qui arrivent à ne pas porter exclusivement sur vos multiples luttes communes à tous les quatre. Admirer la beauté d’un mariage solide tout en faisant face aux taquineries de fiançailles qu’il serait temps de concrétiser. Aveuglé par une Loïs dont tu admirais le regard tout en lui serrant la main, c’est sous un délaissement de ton acuité auditive que tu n’arrives pas à anticiper le bruit de l’explosion qui vient brusquement interrompre votre tranquillité.

Mouvement de foule dans la rue. La clientèle du restaurant s’interrogeant alors qu’une partie se ruait déjà vers les grandes baies vitrées pour tenter de percevoir quoique ce soit. Votre petit groupe en fait bien évidemment partie et c’est sans mal que vous percevez l’état désastreux du café se trouvant de l’autre côté du boulevard. “Vous m’excuserez, une crise de nausées…” Numéro du grand gaillard binoclard visiblement choqué par cette vision trop violente pour lui, tu te retournes de manière entendue pour disparaître jusqu’aux toilettes de votre restaurant. Il n’en faut pas plus de temps pour dire ouf que le reporter du Daily Planet laisse place à l’Homme de Demain. Silhouette apparaissant dans les airs, comme par magie, pour descendre à hauteur de cette devanture totalement ravagée par l’explosion. Débris. Des traces de flammes s'éparpillent sur les décombres. Vision d’un bras que tu peux percevoir sans vie, ressortir d’une bonne moitié du comptoir ayant volé en éclat. Il n’y a pas qu’une seule victime, sans tes rayons x tu peux déjà le ressentir dans tes tripes. Mais cela n’empêche que, sans te soucier de la foule commençant à s’amasser autour de toi, tu tentes de venir balayer et éteindre toutes les manifestations enflammées à même de causer encore plus de dégâts que ceux apparents !

Spoiler:

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'Missions' : 6

cold war

“Rage — whether in reaction to social injustice, or to our leaders’ insanity, or to those who threaten or harm us — is a powerful energy that, with diligent practice, can be transformed into fierce compassion.” @Steven Trevor @Clark Kent @Loïs Lane

Diana souriait, juste avant que l’explosion ne fasse trembler toute la rue. Doigts entrelacés avec ceux de Steve, elle profitait de ce qui aurait dû être une soirée reposante avec sa moitié et ses plus proches amis. Elle n’anticipe pas plus que Clark la déflagration qui la fait sursauter et met aussitôt tous ses sens en alerte. Un café populaire de la ville vient d’être soufflé dans une explosion. Son cœur se serre ; avant même de se rendre sur place, elle anticipe l’ampleur des dégâts, le nombre de morts. Clark disparaît et elle ne perd pas de temps pour s’activer à son tour. Elle retourne à leur table, attrape son sac à main, fouille à l’intérieur et en retire deux oreillettes discrètes. Elle en met une, tend l’autre à Steve. « Garde un œil sur Lois. Mon armure est dans le coffre ? » Elle n’attend pas qu’il lui réponde. Parfois – souvent – Steve fait preuve de plus de bon sens qu’elle. Diana aurait préféré ne pas en avoir besoin, mais il semblerait que ce ne soit pas encore ce jour-là qu’ils auraient droit à une soirée tranquille. Pressée par le temps, elle ne récupère que ses bracelets, son lasso, son épée et son bouclier. Tant pis pour le reste de l’armure, c’est en jean et chemisier que Wonder Woman interviendra cette fois-ci. Elle se hâte, rejoint Superman sur les lieux de l’explosion. Malgré le danger, une foule se masse sur place. L’incendie menace de s’étendre, mais Clark l’éteint. Rapidement, Diana se glisse dans les décombres à la recherche de survivants. Mais son optimisme, qui d’ordinaire trouve toujours une raison de briller, n’en mène pas large. Elle déplace les plus gros débris pour dégager la voie aux secours, essayant par la même occasion de repérer d’éventuels survivants. Elle a un pincement au cœur ; s’il y en avait eu, Clark le lui aurait dit. Mais Diana est une acharnée, trop bornée pour admettre la défaite, admettre qu’une catastrophe ait pu arriver alors que Superman et elle ne se trouvaient qu’à quelques mètres de là…

Boom.

Une seconde explosion fait trembler le sol de Metropolis. Diana écarquille de grands yeux, incrédule, et elle comprend… Ce n’est pas un accident. Elle se précipite à l’extérieur des ruines du café. Depuis le sol, elle ne voit rien. Elle s’élance dans le ciel, jusqu’à avoir une vision dégagée des rues de la ville. « Non… NON ! » L’école. Elle devrait être vide à cette heure-ci. Mais elle ne l’était pas, il y avait un récital, des dizaines d’enfants et leurs parents… Un hurlement de rage lui échappe alors qu’elle se précipite. Le bâtiment a été éventré. Partout, de la fumée, des hurlements de terreur et de douleur et déjà, l’odeur entêtante de la poussière et du sang. « J’ai besoin d’aide… J’AI BESOIN D’AIDE ! Superman, j’ai besoin de toi ! Les enfants… LES ENFANTS ! » Elle s’engouffre dans l’école, le cœur cognant furieusement dans sa poitrine. « Ce ne sont pas des accidents, quelqu’un a fait ça ! » La colère est perceptible dans le ton de sa voix. Si Diana peinait déjà à comprendre que l’on puisse s’en prendre à des vies innocentes, s’en prendre à des enfants… C’était trop. C’était trop et la rage commençait à bouillonner en elle. Les responsables, elle allait les trouver, et ils auraient tout intérêt à prier tous les dieux de la création pour qu’elle fasse preuve de pitié à leur égard. Mais elle avait plus urgent, plus important à faire : secourir les enfants qui pouvaient encore l’être. C’était sans compter sur la silhouette menaçante qui se détachait dans son dos, n’attendait que le moment le plus opportun pour frapper à nouveau.

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I look inside myself, and see my heart is black. I see my red door, I must have it painted black.— @Diana Prince-Trevor @Clark Kent @Loïs Lane

Le bruit éveille les plus sombres démons, détonation comme fervent rappel de ce qui hante tes nuits. Au-dehors, la naissance des astres nocturnes s’évanouie pour laisser place à la lueur des flammes. Le sol tremble, instinctivement ton coeur se serre, tes poings se figent, respiration s’interrompt. Ce n’est plus que l’instinct du soldat qui opère les actions devenues mécaniques au fil des années. Douze secondes, c’est le temps qu’il suffit à ton téléphone sécurisé pour sonner. « Amanda, qu’est-ce que je regarde ? », questionnes-tu sans perdre le moindre instant, le regard passant outre ton reflet sur une des fenêtres du restaurant, pour accrocher de tes émeraudes l’horizon. Un rapide coup d’oeil te permet d’observer les drones de l’organisation survoler le quartier, alors que Diana te tend une oreillette qui vous permettra de rester en contact. Elle s’affaire à sa propre mission, aussi te contentes-tu d’acquiescer lorsqu’elle te questionne sur la présence de sa tenue dans le coffre de ton véhicule. Quant à surveiller Lois, c’est mal connaître l’élue du kryptonien. « Combien ? », poursuis-tu la conversation, reliant ton téléphone à l’oreillette pour libérer tes mains qui pianotent frénétiquement sur l’écran.

« Lois, je te dirais bien de rester tranquille pour que Clark reste concentré, mais tu ne m’écouteras pas plus que tu ne l’écouterais lui. Juste, sois prudente, okay ? », sourire doux et inquiet accompagne un regard qui en dit tout autant, une main venant se poser délicatement sur son avant-bras, à ton tour de lui fournir une oreillette. Tu n’attends pas plus, et quittes le restaurant pour te hâter jusqu’à ton coffre, enlevant le fond devant afficher la roue de secours mais montre au lieu de cela, la présence d’un espace à sécurité biométrique. Tu opères ta magie et dévoiles une série d’armes hautement technologiques, et t’équipes en un claquement de doigts. Gilet, munitions, fusil automatique. Grâce à ton téléphone, tu as pris le contrôle des drones pour quadriller le quartier, à divers endroits stratégiques. Tu t’avances alors dans les rues de Metropolis, les secours peinant à circuler. Tu te hâtes vers le véhicule en tête du cortège, canon baissé et l’index posé sur le badge à ta poitrine.

« Colonel Steve Trevor. Cinq metahumains terroristes ont été repérés dans les environs. Wonder Woman et Superman sont déjà en intervention. Bloquez le quartier de la 50 à la 54ème, évacuez les civils. Les sous-terrains sont fragilisés, les immeubles menacent de s’effondrer à tout moment. N’intervenez sous aucun prétexte, maintenez vos positions aux intersections, on se charge du reste. », tu ne perds pas une seconde, donnes les instructions aux forces de l’ordre, sachant pertinemment que Diana t’entend grâce à l’oreillette, et Clark grâce à son ouïe.

Tu t’aventures dès lors dans le sens opposé des mouvements de foule qui s’évertuent à fuir. « Amanda, on a besoin de renforts pour évacuer. ETA des troupes aériennes ? », oeil plongé dans ton viseur thermique, tu glisses ta main libre dans une poche pour en sortir des lentilles que tu revêtes aussitôt, te donnant la possibilité d’alterner entre différentes visions pour naviguer dans la fumée. Tu t’arrêtes net quand tu tombes nez-à-nez avec un des terroristes t’ayant repéré, tenant un enfant en otage. La vision d’horreur s’accentue lorsque tu constates que le mutant n’est qu’un jeune garçon, d’une vingtaine d’années tout au plus. « Mon grand, ne fais pas ça. Crois-moi, tu le regretterais toute ta vie, et toutes tes nuits. Il est encore temps d’arrêter, je peux te mettre en sécurité, à l’abri de toute menace. S’il te plaît… », tout en le gardant en joue, pointeur laser sur le front, tu tends une main bienveillante. Tu te décides à baisser le canon pour accentuer la zone de confiance. « Je ne te ferai aucun mal, mais tu dois le laisser partir. », désespoir semble s’emparer du jeune homme, dont les flammes menacent cruellement le jeune otage. Dans un réflexe mécanique tu reprends ta visée. Doigt sur la gâchette. Viseur laser entre les deux yeux.

Le coup part.
Des deux côtés.

ACTION POSITIVE : La balle de Steve atteint le terroriste et permet à l’enfant de s’échapper. Le tir est non létal.

ACTION NEUTRE : La balle de Steve ne touche pas sa cible, mais suffit à déséquilibrer le jeune terroriste qui lâche son emprise sur l’enfant qui parvient à s’enfuir.

ACTION NEGATIVE : La balle de Steve ne touche pas sa cible, le terroriste parvient à lâcher une détonation de flammes qui propulse Steve en arrière et blesse grièvement l’otage.

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'Missions' : 8

( Avoiding danger is no safer in the long run than outright exposure.
Life is either a daring adventure, or nothing. We prefer self-government
with danger to servitude in tranquility. The true man wants two things:
danger and play. ) @Clark Kent @Diana Prince-Trevor @Steven Trevor

Bonheur heureux. Simple instant d’échanges entre deux couples d’amis, prenant un peu de bon temps au sein du tumulte de vos vies. Sourire élargissant tes lèvres, doigts entrelacés à ceux de Clark, fine caresse d’un pouce sur le dos de sa main et c’est le cœur serré que tu réceptionnes cette secousse, cette explosion. Une réception où l’étreinte s’envole et où les mouvements des citoyens commencent par s’éveiller. Agitation. Inquiétude. Cris. Il n’en faut pas plus à l’élu de ton cœur de prendre la poudre d’escampette pour agir et accomplir son devoir. Ni une, ni deux, ce sont plusieurs appels que ton téléphone réceptionne. Le Daily Planet. Perry. Il est à l’affût. Il l’a toujours été et le sera toujours. Diana ne perd pas de temps à prendre le départ, tout en ayant une recommandation bien aiguisée à Steve pour ta protection. Une idée qui te fait bien esquisser un fin sourire, visage légèrement secoué. Tu te lèves, téléphone contre ton oreille. « Oui, Perry. Je suis tout près. Attends une petite minute… » Sac mis machinalement sur ton épaule, tes yeux se lèvent sur un Steve Trevor déjà sur tous les fronts. Un Steve rassurant, conciliant, qui te conseille autant qui te somme une belle prudence. Main sur un avant-bras, tu esquisses un sourire. « Promis, je serai prudente. Je tâcherai de ne pas être plus dangereuse qu’à l’accoutumée. » Tentative d’alléger l’atmosphère? Pertinemment. Il te tend une oreillette que tu ne tardes pas à insérer à l’une de tes oreilles. Si tôt fait, regard entendu, tu finis par t’éclipser.

« L’ampleur des dégâts? Perry… Les victimes sont nombreuses. Superman et Wonder Woman sont déjà sur place. C’est le chaos en ville, Perry. Aussi longtemps que je suis à Métropolis, nous n’avons jamais connu de telles catastrophes en aussi peu de temps… » Devant le coffre de ton véhicule ouvert, tu y déposes ton sac. Véhicule contourné pour attraper une arme blanche ainsi qu’un taser dans la boîte à gants. Tu as beau être un danger public, tu tiens toujours à avoir certains éléments pour t’aider à te sortir d’un déboire déplorable. « Des méta-humains, Perry! Je ne sais pas ce qu’ils recherchent à faire, ce qu’ils veulent revendiquer. Peut-être essaient-ils de mettre à mal nos héros, c’est sans doute le cas! Non, compte bien sur moi pour prouver le contraire! » A la hauteur de ton humanité et de tes compétences, tu es bien l’une des seules journalistes à Métropolis à défendre tous ces héros qui ne cessent de battre jour et nuit pour votre protection et votre survie. Manigance programmée d’un chef d’état chevronné? Tu le découvriras bien assez tôt. Pour l’heure, tu demandes à Perry d’envoyer Jimmy te rejoindre sur les lieux de l’explosion du café, non loin de cette école ayant subi les foudres de colère de l’ennemi. « Oh mon… Je dois te laisser, Perry. » Pas de temps à perdre. Téléphone rangé rapidement à l’arrière de ton jean, tu te précipites sur cette adolescente sur le point de se faire écraser par un débris d’immeuble. Courir. Tu n’as jamais autant couru de toute ta vie. Quelques secondes suffisent pour finalement la voir s’en sortir par elle-même, in extremis. Le coeur haletant, les sens en alerte, tu regardes autour de toi. Ta mission est complexe. Maintenir l’information, le regard sur la vérité… mais aussi d’aider, de secourir, apporter ton soutien sans trop perturber Superman… « Jimmy! Ramène-toi! On doit aider le plus possible. » « Mais Loïs, Perry a dit que… » « Oui, je sais ce qu’il a dit, mais il y a des choses plus importantes pour le moment: les aider! » Sans plus tarder, vous vous affairer à vous rendre aux alentours de l’école et à faire éloigner tout citoyen qui pourrait retarder les secours. C’est bien sûr sans compter cette ombre située juste non loin de vous, bien armée à causer plus d’ennuis qu’il n’y en a déjà…

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@Diana Prince-Trevor - @Loïs Lane
@Steven Trevor - @Clark Kent

Comment? Pourquoi? Cette macabre surprise vibre dans ton être comme un brutal couteau de kryptonite dont la lame s’enfonce lentement mais sûrement dans ton coeur. Il y a tant d’incidents que tu ne peux encore empêcher, tant de tragédies qui ne peuvent être évitées… Mais juste sous ton nez comme ça. Une part de toi se confronte à la nature intolérable d’un tel laisser aller, d’un tel aveuglement alors que l’autre ne peut que se consacrer et se concentrer pleinement sur ce qu’il se produit. Tu déblayes les décombres en prenant soin que cela ne touche personne de la foule s’amassant auprès de toi et de Diana. Ta mâchoire est trop serrée pour que tu n’en prononces le moindre mot. L’Espoir accuse le coup de toutes ces vies que vous n’êtes même pas en mesure de sauver. C’est alors qu’une nouvelle détonation surgit. Ton regard se tourne en sa direction autant que ton ouïe détecte des voix étouffées sous les décombres. “Fonce.” Glisses-tu à ta meilleure amie pour te consacrer à ces quelques voix ténues, dissimulées sous les gravats. Vous avez perdu assez de vie de par une inaction insouciante et aveugle. Hors de question de laisser le sort d’une poignée de survivants dans les mains du hasard. Heureusement ne se trouvent-ils pas sous un amas faisant partie d’un fragile et précaire château de cartes. C’est donc sans difficulté majeure que tu parviens à enlever bloc après bloc, pierre après pierre tout en laissant tes sens affutés au possible. Tu entends la voix de Steve. Cinq méta-humains? Fort à parier que l’Argus avait déjà beaucoup plus d’informations que toi. Mais au moins pouvais-tu donner un chiffre à cette menace… La question étant de savoir de quel type de méta-humains il s’agissait cette fois-ci !

Trois personnes. Voilà le nombre d’individus bloqués et que tu as libéré des décombres. Deux tenants encore sur leurs jambes alors que la troisième était dans un état inquiétant. “Su… Superman… Tu… Tu es venu… Tu es venu nous… nous soutenir… contre Luthor, hein?!” Une désagréable sensation parcours ta colonne vertébrale alors que, sourcils froncés, tu demeures avec les yeux sur ceux de cet être que tu tiens dans tes bras. “Ne dites rien, tout va bien se passer.” Il se met à sourire avec une forme de satisfaction et de ravissement. “Tout va déjà très bien… On leur fait payer ! Tous ces foutus humains… et ce président qui… qui nous traque… parce qu’ils sont jaloux… parce qu’ils seront jamais… comme nous… comme toi…” Ton sens moral ne peut décemment pas laisser cet individu glisser lentement vers la mort sans faire ce qui est nécessaire. Les traits de son visage ne marque pas plus d’une vingtaine d’années. Jeunesse certainement trop influençable s’aveuglant de la fausse noblesse d’un combat. “Fais leur payer Su… Superman…” Son dernier souffle quitte ses lèvres. La foule n’attend pas pour laisser ses voix commencer à s’élever. “Vous l’avez entendu?” “C’est de sa faute !” “Il est avec Superman !” “Peut-être que Luthor a raison !” “Dites pas de conneries, Superman ne ferait jamais ça, il est venu nous sauver !” Deux opinions divergentes commencent à s’élever alors que tu entends les cris de Diana résonner jusqu’à tes oreilles. Les forces de l’ordre et de secours sont déjà sur ta position. Tenter d’apaiser les tensions actuellement ne servirait à rien car ta présence ne fera que grossir l’ampleur des désaccords qui s’élèvent. Et une autre menace pèse. Une fois encore, tu préfères l’acte de foi au discours moyennement efficace. “Capitaine…” Tu te tournes vers le responsable des services d’intervention qui hoche de la tête. “Allez-y Superman.” Et tu t’envoles aussitôt. Menace planant au-dessus d’enfants innocents. Menace s'apprêtant à s’abattre sur ta fiancée et ta meilleure amie. Tu arrives tel une fusée lancée à sa vitesse maximale pour intercepter cette nouvelle menace.

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'Missions' : 1

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“Rage — whether in reaction to social injustice, or to our leaders’ insanity, or to those who threaten or harm us — is a powerful energy that, with diligent practice, can be transformed into fierce compassion.” @Steven Trevor @Clark Kent @Loïs Lane

Sens en alerte, Diana se retourne juste à temps pour voir Clark attraper au vol le méta-humain qui s’apprêtait à essayer de la prendre en traître. Elle fronce les sourcils, prête à se reconcentrer sur sa tâche, lorsqu’elle aperçoit deux silhouettes familières dans la zone de l’explosion. « Loïs ! Jimmy ! Qu’est-ce que vous faites ici ? L’endroit n’est pas sûr ! » Combien de temps avait-il fallu à la journaliste pour échapper à la vigilance de Steve ? Probablement moins de cinq minutes, à en juger par sa capacité à disparaître pour réapparaître fourrée dans les ennuis jusqu’au cou. « N’entrez surtout pas dans le bâtiment, la structure est peut-être fragilisée. Je suis sérieuse, Loïs… » Un soupir lui échappe, puis elle retourne s’engouffrer à l’intérieur de l’école éventrée. Son cœur cogne si fort dans sa poitrine qu’elle a l’impression de n’entendre que lui. Elle doit pourtant se concentrer, être attentive au moindre son qui pourrait l’aider à localiser des survivants… Un tout petit gémissement, presque imperceptible à l’oreille humaine, la fait sursauter et se précipiter vers son origine. Elle déplace les blocs de béton et autres débris précautionneusement, pour en dégager une petite fille. Sa gorge se serre ; elle ne doit pas avoir plus de cinq ans. « Tout va bien, tout va bien, ne t’inquiète pas, je suis là… » Le plus délicatement possible, elle sort la fillette des décombres, seulement pour réaliser qu’elle ne pourra rien faire d’autre pour elle. Diana s’agenouille, la petite serrée contre sa poitrine. « Tout va bien, ne t’inquiète pas. Je suis là. Tu n’es pas toute seule, je suis là. Tout va bien… » Ce n’est pas la première fois que Diana a ce genre de discours. Ce n’est pas la première fois qu’elle ment pour rassurer une personne mourante. Mais une petite fille ? Une petite fille à peine plus âgée que Lyta ? C’est trop. Trop pour son cœur qui se brise quand l’enfant meurt dans ses bras. Diana est obligée d’étouffer un sanglot et il lui faut plusieurs secondes pour reprendre ses esprits. Elle se relève, la petite dans les bras, et quitte l’école. Elle dépose son corps sur un brancard, secouant la tête quand l’un des secouristes l’interroge sur son état. Loïs et Jimmy sont toujours là, elle croise leurs regards, mais le sien est éteint. « Je vais trouver les responsables. » Sans un mot de plus, elle disparaît dans les airs.

Le sol craque sous ses pieds quand elle atterrit au milieu de la rue. Sourcils froncés, elle avance d’un pas déterminé jusqu’au terroriste désarmé par Steve. D’une main, elle le saisit par le col pour le relever et de l’autre, elle enroule son lasso autour de son bras. Il se débat, essaie d’échapper à sa poigne de fer, mais c’est peine perdue. Dans la panique, des flammes s’échappent de son corps, mais seuls les vêtements de Diana y sont sensibles. « Arrête ça. Tu pourrais déchaîner les flammes de l’enfer qu’elles ne m’atteindraient pas davantage. » Son ton est froid, dur, tranchant. « Vous êtes cinq. J’imagine qu’il y a cinq cibles. Vous avez déjà détruit un café populaire et attaqué une école pleine d’enfants. Vos autres cibles, quelles sont-elles ? » « Quoi… ? » « Ne me force pas à répéter la question, tu m’as très bien entendue. N’essaie pas non plus de résister au pouvoir du lasso, c’est inutile. Réponds-moi. Quelles sont vos autres cibles ? » Elle ne le lâche pas du regard. En d’autres circonstances, elle aurait peut-être pu essayer de le comprendre. Elle aurait pu essayer de le calmer, essayer de le convaincre de se rendre. Mais lui et sa petite bande de terroristes avaient commis une grossière erreur en s’en prenant à des enfants. « Le cinéma de New Troy… L’hôpital… La gare… »Diana grimace. Des endroits pleins à craquer, remplis d’innocents. « Les autres. Quels sont leurs pouvoirs ? » « Maria crée des explosions, c’est elle qui a fait sauter le café. Joshua est magicien, c’était lui à l’école… Matt est capable de contrôler l’électricité, il sera au cinéma. Elena crée des secousses sismiques, elle doit aller à l’hôpital. Je devais aller à la gare… Je vous en prie, ne me faites pas de mal ! » « Pas de mal ? Pas de mal ?! Vous avez tué des innocents ! Des enfants ! DES ENFANTS ! Une petite fille vient de mourir dans mes bras, et pour quoi ? Vous ne méritez aucune pitié, aucune ! » Elle le relâche pourtant quand elle réalise qu’il est mort de peur. Le coup qui suit est maîtrisé, elle l’assomme pour qu’il ne tente pas de s’échapper ou d’utiliser ses capacités. Toujours plus froide qu’une statue de marbre, elle se retourne vers Steve. « Tu l’as entendu ? Fais évacuer le cinéma, l’hôpital et la gare. Il faut que je retourne à l’école, il y a encore tellement d’enfants prisonniers des décombres et… Oh, par les Dieux. Superman ! » L’un des terroristes n’était pas méta-humain, il maîtrisait la magie. Clark y était sensible… Plus rapide que si Hermès lui-même l’avait lancée, elle s’élance pour aller rejoindre le Kryptonien, priant pour ne pas arriver trop tard.

~~ACTION POSITIVE : Diana arrive à temps pour prévenir Clark que le terroriste qu’il a intercepté maîtrise la magie, et est donc en danger. Il peut anticiper une attaque.~~

ACTION NEUTRE : Diana arrive à temps pour prévenir Clark que le terroriste qu’il a intercepté maîtrise la magie, et est donc en danger. Elle parvient à le prévenir, mais le magicien a le temps d’utiliser ses capacités sur Superman.

ACTION NÉGATIVE : Diana n’arrive pas à temps pour prévenir Clark, le terroriste peut le prendre par surprise et utiliser sa magie sur lui avant qu’elle ne les atteigne.

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'Missions' : 19

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I look inside myself, and see my heart is black. I see my red door, I must have it painted black.— @Diana Prince-Trevor @Clark Kent @Loïs Lane

La balle frôle le terroriste, les flammes émises par l’individu venant te déséquilibrer un bref instant. Par chance, il relâche l’emprise sur l’enfant tenu en otage, qui parvient à s’enfuir. La confrontation aurait pu virer au rouge, si Diana n’était pas intervenue une fois de plus pour sauver la mise. Atterrissage fracassant, venant briser le sol déjà fragilisé par les attaques simultanées des assaillants. Tu baisses ton arme, mais restes à l’affut au cas où un autre terroriste venait à faire irruption. D’un geste mécanique et rapide, tu attrapes ton terminal Argus, et positionnes les drones qui quadrillent le périmètre et scannent les décombres. Tu envoies les rapports d’analyse aux forces de l’ordre pour leur permettre d’avancer sereinement et de sauver les âmes piégées, et tends l’oreille pour entendre l’échange entre Diana et le meta-humain. Si les informations sur les capacités de ses compagnons sont précieuses, ton esprit se focalise plus nettement sur la montée colérique de ta femme. Elle se fait affreusement directive, l’esprit embrumé par sa rage évidente. Tu n’as pas le temps de rétorquer, qu’elle disparaît dans le ciel fumeux. Sourcils froncés, tu t’empares de menottes conçues par Argus, qui désactivent les capacités méta-humaines, et les enfiles aux poignets de l’individu assommé par Diana. L’instant d’après, tu prends la direction de l’hôpital qui se trouve au plus près de ta position, tout en passant sur un canal privé pour échanger avec ta femme.

« Diana, tu dois maîtriser ta rage. Je sais ce que tu ressens, crois-moi je le sais, mais ces jeunes… Ils sont endoctrinés, regarde comment ils sont effrayés. Ils ne sont pas à l’origine du plan de ces attaques. Oui, ils seront jugés, oui ils doivent être arrêtés, mais tu ne peux déverser ta haine sur eux. Qui sait ce que le cerveau derrière tout ça détient sur eux, informations ou menaces… Ne donne pas à Waller plus de raisons de pointer la Justice League du doigt ! », le message est passé, la Une de demain mettant en avant Wonder Woman avec le sang sur les mains d’adolescents surpasserait pour beaucoup l’intérêt face aux dégâts causés par ces mêmes individus. Les médias sont sans pitié, plus encore lorsque la politique s’en mêle. « Sauve Clark, assomme les, mais je t’en prie, aucune létalité… », la crainte de la magie de Superman est tristement connue d’Argus, ou plutôt de Waller, elle qui constitue un dossier anti-super depuis autant qu’elle le peut, par pure précaution prétend-elle…

Fusil au bras, tu avances d’un pas mesuré vers l’hôpital, le pad à ton poignet indiquant la position des renforts. Quelques instants suffisent, avant que ton équipe ne descende en rappel de l’hélicoptère qui survole la position. « J’dois dire être ravi de vous voir, les amis. J’imagine que vous avez pris le temps de consulter la topographie des lieux, mais aussi les profils de nos terroristes. », profils dressés grâce à une IA, sur la base des prénoms perçus lors de l’échange. Sans perdre plus de temps, vous filez sans un mot dans l’hôpital en alerte, vos mouvements synchronisés, l’habitude d’années de camaraderie. Dans l’hôpital, les premiers blessés rapatriés entraînent la cohue. Quelques rares visages vous dévisagent, aussi prends-tu à partie une médecin à l’affut, visiblement agacée alors que tu lui prends de son précieux temps. « Madame, je sais que vous êtes débordée, mais nous savons de source sûre qu’une terroriste vise cet hôpital. », tu présentes un hologramme émis par ton pad, représentant le visage de ladite Elena retrouvée par l’IA. « Elle n’a sûrement pas utilisé de pseudonyme, peut-être s’est-elle faite passer pour une patiente. L’avais-vous vue ? », la médecin bafouille, réfléchit difficilement face à la menace. Elle finit par t’indiquer une chambre, devant lequel un lit positionné dans le couloir et attribué à la jeune femme. Vous devez être méthodique, la moindre bavure et l’hôpital risque de s’effondrer. Tu briefes un plan à l’équipe, et quittes le moindre équipement militaire que tu revêtes, dans l’optique d’apparaître comme un banal civil. Tu prends place sur un lit, non sans te blesser volontairement - et superficiellement - avec un couteau au niveau du torse, de sorte à imbiber ton vêtement de sang.

Un infirmier te mène dans le couloir, l’équipe vadrouillant non loin, prête à intervenir. Ton lit est positionné en face de celui d’Elena, dont le regard file dans tous les sens. Tu sens sa nervosité, par ses mouvements décousus mais aussi la sueur à son front. Feintant une moue de douleur, tu te mets en position assise, tête posée contre le mur, main sur ton torse blessé. « Ne panique pas. Oui, ça se sent. Tout va bien se passer. », voix apaisée et rassurante, tu lui adresses un fin sourire alors que son regard effrayé vient accrocher le tiens. « Vous n’en savez rien. », ton sec, mais voix tremblante. « Non, tu as raison, mais j’ai un excellent instinct. Et là, il me dit que tout ira bien. », tu détournes son attention, tes hommes avançant discrètement dans le couloir. « Comment tu t’appelles ? » « El… Elena. » « Enchanté, Elena. Steve. Raconte-moi, qu’est-ce qui te rend nerveuse comme ça ? » « Je… Non, rien, juste que j’aime pas les hôpitaux… » Léger rire. « Pas grand monde n’aime ça je pense, c’est rarement signe de bonne chose. Mais quand on en a besoin, on se trouve entre les meilleurs mains. », l’équipe prend l’adolescente en joue.

ACTION POSITIVE : La distraction de Steve fonctionne et la terroriste est appréhendée.

ACTION NEUTRE : La distraction de Steve fonctionne, mais au dernier instant Elena repère l'équipe et prend la fuite en courant.

ACTION NEGATIVE : La distraction de Steve ne fonctionne pas, Elena repère l'escouade et prise de panique, déclenche un tremblement de terre, non suffisant pour menacer l'entièreté de l'hôpital mais cause de lourds dégâts à l'étage où ils se trouvent.

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