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Need Your Help ! [PV : Bullock]
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Dim 16 Avr - 7:25

Need Your Help !
Feat :    @Harvey Bullock    
Montoya n’aurait pas dut être étonnée, s’en offusquer, s’en agacer évidemment, mais étonné non. Déjà qu’à son époque, le GCPD peinait difficilement à se remettre et effacer la réputation de criminel inefficacité de ses services — soit pour incompétence, soit parce qu’une bonne partie de ses agents et cadres étaient plus ou moins corrompu — alors maintenant que le raz de marré et la prise de contrôle des différents activités criminels par les super-vilains avait littéralement renvoyé Gotham City à la situation pré-batman… aucune chance pour elle de réussir à trouver de l’aide parmi ses anciens camarades. Pourtant Montoya en avait besoin de cette aide, enfin surtout la petite fille qu’elle devait extraire des sales mains de son père mafieux. Mais comment compter sur une bande de crétin arrogant, corrompu dont une partie se souvenait encore de l’attitude droite et juste de Montoya lorsqu’elle faisait partie de la police. Tout ce qu’elle avait put obtenir comme information était que son ancien coéquipier et en grande partie mentor au seins du GCPD semblait décidé à déserter les rues depuis quelques temps. Si même lui qui n’hésitait jamais à faire face au difficulté et la violence de la rue semblait décidé à quitter le navire… alors peut-être que tout était perdu pour Gotham et ses habitants. Quand à James Gordon, il était pour le moment introuvable ou du moins le cerbère du poste de police avait refusé d’essayer de le contacter pour elle ou même juste lui laisser la possibilité de le faire elle-même. Ainsi, mise à la porte du commissariat comme une malpropre, elle dut se décider rapidement sur la marche à suivre.

Jusqu’à maintenant Montoya n’était jamais arrivé jusqu’à la porte de l’appartement de Bullock et autant qu’elle le sache c’était réciproque… déjà à l’époque c’était parce qu’elle se refusait à pénétrer plus avant dans l’intimité de son camarade, mais maintenant… ils n’étaient plus des coéquipiers et elle avait besoin d’une aide musclé. Surtout que Montoya ne pouvait pas agir en tant que question, pas cette fois car elle avait été officiellement engagée par la mère de la petite fille disparu pour la retrouver… si un justicier intervenait alors faire le lien entre Montoya et lui serait une évidence. Elle hésita en montant l’escalier pour atteindre l’appartement de Bullock, souriant froidement à un voisin en train de balayer son palier. Avait-elle raison de venir le déranger ? S’il ne voulait plus travailler c’était sans doute pour une bonne raison… une blessure peut-être ?

Un soupire et elle s’arrêta devant la lourde porte de bois, le dernier rempart la séparant de l’intimité de Bullock. Enfin, elle se décida à frapper.

— Bullock ! C’est moi, Montoya tu peux m’ouvrir, j’ai besoin de te parler.

Codage par Libella sur Graphiorum


Harvey Bullock
Harvey Bullock
One bad day
Autres facettes : -
Alias : Donut

Âge : 51 ans

Crédits : Obaseb









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Dim 16 Avr - 9:57




Need Your Help !
Renée Montoya • Harvey Bullock


« Quand j’étais dans la Brigade des Mœurs à Park Row. On a reçut un tuyau sur un bordel clandestin. On débarque en force et on découvre l’un des substituts du procureur, le pantalon sur les chevilles, en train d’embourber une racoleuse de 130 kilos. »

Les 4 clients devant l’étal à donuts se marrèrent et s’esclaffèrent. Les anecdotes du gros ex-sergent du GCPD : HA HA HA !!! C’est à ne pas y croire ! Votre hôte : Harvey Bullock. Visez l’allure : tablier de couleur vive de la franchise « Mr Donut. » avec le calot assortit sur la tête et la chemise criarde aux couleurs de la bannière étoilée. Visez donc ce badge en forme de donut et l’étiquette avec le prénom « Harvey » épinglés sur le torse de l’ex-flic. Appelons ça : la couverture pour se planquer des criminels et échapper aux sbires du Pingouin et de Black Mask. Culot : 8/10. Imagination : 3/10. Discrétion : 0/10. Pas sûre que ses notes allaient lui donner son passage auprès des criminels.

Bullock rajouta des donuts chocolat et glacé au sucre dans son étal et philosopha :

« Un jour on a reçu un appel à l’aide des narcotiques. C’était l’Epouvantail qui avait planqué ses substances dans des comprimés de digitaline, avant d’envoyer ça à l’hôpital de Gotham. On se ramène moi et Montoya à la morgue de l’établissement, pour saisir les machins qui avaient été entreposé. C’était coincé entre le placard plein à ras bord de bocaux de restes humains du légiste et le groupe de mecs des pompes funèbres, qui patientaient en fumant cigarettes sur cigarettes pour tenter de noyer la puanteur des cadavres. »

Les 4 clients de Bullock qui se marrent de plus belle en avalant quelques donuts. Bubu qui enchaîne :

« Un jour on me rencarde sur une soirée pyjama 100 % masculine entre cambrioleurs, tous à la solde du Pingouin. Des teignes. Mais Montoya leur a foutus les jetons. Comme elle revenait d’une semaine de permanence en horaires de nuit, elle a baillée et s’est étirée devant eux en arrivant. Écartant les pans de sa veste dans son geste et dévoilant en passant le chemin de croix du GCPD : un colt python 357 magnum, pas du tout légal au sein du service. Une matraque lestée de plomb et un coup de poing américain, encore écorné de sang séché (il avait servit sur les sbires du Joker). Les lascars ont faillit se foutre à genoux devant elle : Frappez paaas ! »

La clientèle entière de l’étal à donuts se boyaute. Client n°1 manque de s’étouffer. Client n°2 manque de s’étaler. Client n°3 recrache un bout de donut qui vole et s’écrase par terre. Client n°4 souffle trois coups de fausse trompe dans sa main pour que continue le Bubu show. Harvey le sérieux :

« Désolé les amis, mais c’est l’heure. On ferme. »

……………………………………………………

L’appart minable de Bullock se trouvait juste au dessus d’un ancien rade de location de smokings, qui avait fermé suite au sinistre qui avait frappé Gotham. Alors qu’elle toquait à la porte, Montoya put voir débarquer dans le couloir, dans la minute suivante, Bullock qui rejoignait la porte de son appartement. Visez l’allure : Bullock avec son tablier et son calot sur la tête de vendeur de donuts. Portant son sac à provision. Avec sa chemise aux couleurs de l’oncle Sam, on aurait dit qu’il était un bonimenteur de choc ventant la nouvelle gamme des produits sortit de chez Wayne Enterprise. Le visage de Bullock s’éclaira :

« Eh ! Renée ! Ça fait une paye ! »

Visez la tête de Bullock. Sa nostalgie bascule. Son regard s’obscurcit. Les pages du calendrier défilent en arrière dans sa tête. Les années GCPD avec Montoya qui reviennent et se perdent. Bullock qui reprend ses esprits et étreint maladroitement son ex-collègue. Il glissa sa clé dans la serrure et ouvrit la porte :

« Je t’en prie entre. »

Chez Bullock : insolite et déconcertant. La déco à l’avenant. Le salon : mobilier minable et rayonnage à livres. Affiches du GCPD d’une autre époque. Des fuites de sciures partout dans le plafond. Des gamelles pour chien disposés aux endroits stratégiques les récoltaient. Pas d’armoires. Tous les vêtements de Bullock pliés dans des sacs en papier. Le canapé : une ancienne banquette récupérée dans l’épave d’une voiture. Ça se voyait qu’il avait perdu son ancien appart dans le séisme d’inondation provoqué par Ocean Master. Ça se voyait qu’il avait récupéré celui-ci à l’arrache avec les moyens du bord.

Les chats avaient envahis l’endroit. Au moins une dizaine. Les chats faisaient la loi. Les chats faisaient leur griffes sur le papier peint érodé des murs. Un chat roux se frotta à la jambe droite de Montoya. Un chat noir se frotta à la jambe gauche de Montoya. Un chat tigré tenta de grimper sur elle. Un chat blanc obèse s’assit devant elle, leva la tête et fixa Montoya du regard dans le style : Je-sais-que-tu-dois-avoir-à-bouffer-balance-une-douceur. 

Bullock déposa son sac de provision et vira son tablier.

« Alors ? On s’est pas croisé depuis quoi ? Euh ? 6 mois ? 8 ? Raconte moi les dernières et les biens bonnes. Dis les choses comme elles sont. »

Bullock fit un clin d’oeil. Le gros chat persan blanc continuait de rôder autour de Montoya en affûtant un regard type : balance-moi-une-douceur-maintenant !

Fiche codée par NyxBanana


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Dim 16 Avr - 16:50

Need Your Help !
Feat :    @Harvey Bullock    
Montoya s’était attendu à beaucoup de chose en allant voir son ancien collègue. Elle s’était attendu à le trouver ivre mort ou même juste mort. Elle s’était attendu à le trouver en train de déprimer sur la situation abominable du GCPD… elle s’était même attendu à trouver une gagneuse minable et démaquillé lui ouvrir… mais jamais son imagination n’aurait put un seul instant envisager de découvrir Bullock dans une tenue de vendeur de Donuts appartenant à une grande chaine. Elle rêvait sans doute ou alors c’était une couverture ou quelques choses d’autres d’important… cela devait être pour cela que Bullock ne répondait plus lorsque le GCPD l’appelait, il devait être en infiltration… sur un gros coup. Étonnée — complètement déstabilisé même — , Montoya n’eut même pas le réflexe d’étreindre son ancien camarade… une étreinte déjà surprenante en soit. Elle ne se souvenait pas vraiment de Bullock comme d’un gars tactile et surtout pas le genre à se comporter de façon aussi socialement normé.

— Euh oui, c’est vrai que ça fait longtemps… trop sans doute. Je suis désolé, tu rentres de tes courses, je ne voudrais pas te déranger.

Enfin, un peu tout de même c’était pour cela que Montoya était venu, mais à le voir ainsi dans sa tenue de vendeur de donuts… elle devait admettre que cela ne lui semblait plus une si bonne idée. Silencieuse et soucieuse, la détective privé regardait Bullock avancer pour ouvrir et l’invité à entrer. Une bref seconde d’hésitation, avant de passer la porte et découvrir horrifiés l’appartement de son ancien collègue. Elle ne s’était pas attendu à tomber un lieu où régnait l’ordre et la propreté — et elle serait bien hypocrite de s’y attendre vue qu’elle vivait dans son bureau en dormant dans le vieux canapé en cuir — non, ce qui la choqua le plus était les chats. Pas un, pas deux mais beaucoup plus. Elle marqua un temps d’arrêt, réussissant à éviter de reculer par réflexe de survie primaire. Depuis son enfance, Montoya n’avait que peu d’affection pour les animaux, principalement à cause d’une saleté de chat de gouttière adopté par sa petite soeur et qui avait la salle habitude de lui sauter dessus par surprise. Comme ce gros chat blanc qui semblait décidé à la dépouiller d’une hypothétique friandise — qu’elle n’avait pas — ou ses deux complices déjà occupé à se frotter sur les bottines de marches. L’un commençant même à mâchouiller l’un de ses lacet un peu lâche. D’un petit mouvement du pied, elle tenta bien de virer les deux ma toux ou matoutes, mais impossible de les faire se décrocher de ses chaussures.


— C’est… très jolie chez toi… tu as emménagé récemment non ? Et tu as l’air de ne pas aller si mal que ca, je m’inquiétais un peu… je suis passé au commissariat, on m’a dit que tu ne pointais plus depuis un petit moment.

Elle tenta tant bien que mal d’avancer dans l’appartement sans faire de mal à un des chats, se crispant dès que l’un d’entre eux s’approchait trop prêt.

— Plus que ca je dirais, les évènements récents on été un peu prenant pour tout le monde, même si j’ai eut la chance de ne rien perdre de trop précieux durant l’inondation. J'espère que toi, tu n'as rien perdu de plus précieux que des meubles ou ce genre de chose.

Un mensonge, Bullock le sentirait certainement, Vic y avait laissé sa peau et se connard de justicier lui manquait affreusement. Maintenant qu’elle devait gérer seul à la fois son boulot de détective et celui de justicière, elle se rendait compte à quel point Sage avait été un soutien pour elle et une aide précieuse afin de remonter un peu la pente. Elle enfonça les mains dans les poches de son manteau en cuir dont les coutures et le revers avaient connue des jours meilleurs.

— Je ne vais pas te mentir, Bullock, je ne suis pas venue pour une visite de courtoisie… même si j’aurais dut le faire depuis un moment. Tu aurais parfaitement le droit de me dire d’aller me faire foutre, mais j’ai besoin d’aide… d’une aide un peu musclé pour une bonne cause, commença-t-elle à déballer en le regardant droit dans les yeux, essayant de faire coller le souvenir du flic impitoyable et droit sur l'homme entouré de chat et qui deux minutes plutôt portait encore un tablier de vendeur de Donuts.

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