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Life was meant for good friends and great adventures (Trio Infernal)
Page 1 sur 1
Barry Allen
Barry Allen
One bad day
Autres facettes : -
Alias : FLASH | Bolide écarlate qui ne laisse derrière lui qu'une vive traînée or et rubis

Âge : 37 ANS | La quarantaine commence à dangereusement s'approcher, mais cela ne l'effraie guère. On est jeune de 7 à 77 ans, après tout.

Palpitant : WESTALLEN | La foudre ne frappe pas deux fois au même endroit, pourtant celle-ci l'a bien heurté à plusieurs reprises. Avant même que son corps ne soit atteint, son cœur avait déjà été électrisé au moment de sa rencontre avec Iris West.

Crédits : irenegade (av), zaja (sign), jaifkncourtney (gif)









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Jeu 20 Avr - 11:12


♛ life was meant for good friends and great adventures
A good friend knows all your best stories, but a best friend has lived them with you. A best friend doesn't let their friends do crazy stuff alone. ft.  @Hal Jordan &  @Oliver Queen

▼▲▼

Barry observe l'horloge de son laboratoire pour la cinquantième fois en dix minutes. Le fait de percevoir les choses à un autre rythme que le reste du monde l'a rendu plus impatient qu'il ne l'était il y a trois ans, surtout lorsqu'il attend un moment bien particulier. Le lancement de la nouvelle saison de la Major League Baseball a lieu ce soir à vingt-et-une heures pile et le bolide ne manquera cela pour rien au monde, d'autant plus que cet événement a lieu à Star City cette année. Ce détail est important, car il connaît Oliver Queen, l'une des personnalités les plus influentes de la ville et, comme n'importe quelle célébrité, il lui arrive régulièrement d'être invité à assister aux festivités qui se déroulent près de chez lui. Voilà donc pourquoi le policier suit les déplacements des aiguilles de la montre depuis le début de sa prestation : il lui faut être à l'autre bout du pays d'ici moins de huit heures s'il souhaite profiter des entrées gratuites que son camarade a reçues. Ils ne seront pas que deux, qui plus est, puisqu'il est prévu qu'Hal soit de la partie également. Une nuit en compagnie de ses deux amis les plus chers, que demander de plus ? Les occasions comme celle-ci se font trop rares ces derniers, leurs responsabilités respectives occupant une bonne partie de leurs journées. Green Lantern a tout un secteur à défendre et surveiller, Green Arrow a ses problèmes personnels à résoudre et le CCPD surexploite ses employés, dont Flash, depuis l'émergence des méta-humains. La plupart de leurs récentes interactions se sont donc résumées à leurs aventures aux côtés du reste de la Justice League. L'idée de les voir dans des conditions moins sérieuses le réjouit tellement qu'il lui faut réaliser un effort surhumain pour se la sortir temporairement de la tête, le temps de terminer de rédiger son rapport d'enquête.

Toutes les précautions ont été prises pour lui éviter d'arriver en retard. Plusieurs alarmes ont été programmées pour lui rappeler de partir deux heures à l'avance, plusieurs post-it traînent sur son bureau, son directeur est au courant qu'il compte quitter son poste plus tôt et Wally se charge de veiller sur la ville en son absence. « T'es encore là, Barry ? Tu n'as pas un match à aller regarder ? » Le coureur lève la tête de son ordinateur et regarde son collègue avec incompréhension. « Qu'est-ce que tu racontes, Forrest ? J'ai encore un peu de temps devant moi, il n'est que dix-hui... MINCE ! » Ses yeux se sont posés sur l'horloge pendant qu'il parfait pour lui faire réaliser son erreur. La grande aiguille sur le chiffre sept tandis que la petite se bloque sur le neuf. Vingt-et-une heures et trente-cinq minutes, soit plus d'une demi-heure après le début du match. Ce n'est que maintenant qu'il remarque l'existence d'une dizaine d'appels manqués, en plus d'une vingtaine de sms lui demandant sa position. Forrest éclate de rire face à son désarroi. « Barry Allen dans toute sa splendeur, mesdames et messieurs ! » Le justicier s'est tellement concentré sur son boulot que le temps s'est soudainement mis à s'écouler beaucoup plus vite et qu'il n'a plus fait attention à tous les dispositifs de rappel mis en place. Chassez le naturel et il revient au galop. Il s'empresse alors d'emballer ses affaires avant de traverser le commissariat. Une fois la porte de sortie atteinte, Allen s'empresse de déclencher ses pouvoirs pour se rendre chez lui en quelques secondes. A peine son sac est-il lancé sur son canapé qu'il s'est déjà changé et qu'il court maintenant à toute vitesse en direction de Star City. La hâte le fait se déplacer presque quatre fois plus vite que les voitures sur l'autoroute, si bien que les conducteurs ne se rendent même pas compte de son passage. La voix d'Iris, supposant qu'il a dû énerver un dieu de la malchance dans une vie antérieure, résonne dans sa tête. Barry commence à se dire que cette dernière n'a peut-être pas tort, il ne voit pas d'autres raisons pour être autant incapable d'arriver à l'heure.

Quinze interminables minutes de négociations lui permettent d'entrer, bien que les portes du stade soient déjà closes. De là où il se trouve, il ne lui est pas bien difficile d'entendre les cris du public, signe que le match a déjà commencé. L'absence de foule dans les couloirs le lui confirme également. Le seul et unique avantage à cette arrivée tardive est qu'il n'a pas à faire la file pour remplir ses bras de boissons sucrées et cochonneries en tout genre habituellement vendues lors d'événements sportifs. Il ne lui est pas facile de se déplacer ainsi chargé jusqu'à la tribune qui lui est attribuée, mais il se débrouille tout de même pour ne rien faire tomber au sol. Les silhouettes d'Oliver et Hal l'aident à se guider jusqu'à son siège qui, comme par hasard, se situe au milieu des gradins, mais cela ne lui évite pas de gâcher la vue aux gens derrière lui. Ces derniers ne manquent d'ailleurs pas de le lui rappeler à travers de nombreux propos peu sympathiques à son égard, même s'il prend la peine de s'excuser à chaque fois. « Je vous jure que ce n'est pas de ma faute si je ne suis pas dans les temps. J'ai fait tout ce qui était en mon possible pour éviter cela, mais même ça ce n'était pas suffisant. » s'exclame-t-il  fort pour que ses deux camarades le remarquent une fois qu'il se trouve suffisamment proche d'eux. Quand ça ne veut pas, ça ne veut pas. Enfin, le bolide doute quand même que cela suffise à convaincre le pilote et l'archer. Heureusement qu'il a apporté ce qu'il faut pour s'excuser, ou ne pas trop s'attirer leurs foudres, tout du moins. « Mais j'ai tenu ma promesse cependant, je vous ai ramené tout ce que vous avez demandé si jamais j'avais plus de trente minutes de retard. » Une fois leurs commandes distribuées, le coureur s'assoit sur sa chaise pour enfin observer le match.

Le brouhaha ambiant masque les remarques des commentateurs, mais le tableau des scores lui permet d'avoir une vague idée de ce qu'il s'est déjà produit. Le chronomètre et les positions des joueurs sur les différentes bases du terrain lui indiquent néanmoins que l'issue de la confrontation demeure encore loin d'être déterminée. « Je n'ai rien manqué d'important, j'espère ? » Un changement de dernière minute dans la composition des équipes ? L'élimination de l'un des joueurs clés ? Autre chose ? Ce ne sera pas la première fois que son manque de ponctualité lui fait louper une ou plusieurs actions marquantes lors d'une rencontre. Il se souvient par exemple avoir dû attendre la sortie en DVD du premier Matrix pour découvrir la scène d'ouverture du film. Barry regrette très souvent d'être passé à côté de certaines choses, mais d'un autre côté, c'est justement parce qu'il n'est jamais présent du début jusqu'à la fin des festivités qu'il tient à en profiter un maximum à chaque fois qu'il est là. C'est pour cela que Flash ne compte pas se contenter d'observer des individus frapper dans une balle avec une batte. « Le pari habituel ? » Chacun propose un score avant le coup d'envoi. La personne qui s'éloigne le plus du résultat à l'issue du match doit reprendre les shifts de surveillance de la Watchtower des autres pendant un mois tout entier.

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Hal Jordan
Hal Jordan
One bad day
Autres facettes : Richard Grayson - Jaime Reyes
Alias : Green Lantern

Âge : 36 ans déjà, bientôt 37

Palpitant : En couple depuis un bon moment avec la femme de sa vie, la seule et unique. Caroline Ferris

Crédits : panicstation









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Sam 22 Avr - 20:45

life was meant for good friends and great adventures

A GOOD FRIEND KNOWS ALL YOUR BEST STORIES, BUT A BEST FRIEND HAS LIVED THEM WITH YOU. A BEST FRIEND DOESN'T LET THEIR FRIENDS DO CRAZY STUFF ALONE. FT.  @Barry Allen &  @Oliver Queen


Hal sortait d’une journée qui était différente des autres sur le papier. Mais qui mise en contexte, semblait être une journée des plus classiques. Il avait passé une très grosse partie de sa journée dans les confins de l’univers. Ce qui semblait juste être le ciel, voir des étoiles la nuit pour les plus observateur, était aussi là où l’homme travaillait. Aussi incroyable que tout ça pouvait l’être, tout était vrai. L’avantage avec ce genre de boulot, ce que d’une journée à l’autre, tout pouvait être si différent. Il se souvient en début de semaine avoir dû intervenir sur une planète. La civilisation présente était trop primitive pour réussir à se sortir de la catastrophe qui allait se produire. Un volcan allait rugir, emportant le seul continent vivable. Une tragédie qui ne pouvait être évitée. Sauf avec l’intervention du justicier de l’espace. Green Lantern. Avec l’aide de sa bague, il avait empêché l’éruption pour laisser ces derniers en paix. Intervenir à un endroit, puis de l’autre côté de la galaxie le même jour, c’était son quotidien. Mais Hal aimait ça. Bien plus qu’il ne voulait l’avouer.

La tranquillité de l’espace était quelque chose de reposant. Être inondé de couleurs, provenant des étoiles qui filaient à mesure que le lantern traversait le coin. Il n’y avait pas grand-chose de plus beau selon lui. Cette journée, il s’était rendu sur une planète de son secteur, abritant des humanoïdes, mais avec des particularités amusantes. Comme avoir des oreilles de chats. Jordan aurait pu croire que cet endroit sortait tout droit de la tête d’un créateur de bande dessinée, mais tout était bien réel. Il leur venait en aide, passant quelques heures à leur côté, découvrant de nouvelles choses, d’autres façons de vivre. L’univers était si vaste. Mais ce n’était en aucun cas un frein pour le pilote. Il fonçait encore plus rapidement dans l’inconnu.

Il revenait en fin de journée sur Terre, laissant sa lumière verte venir recouvrir le ciel. Avant de se poser en extérieur de la ville, pour arriver plus furtivement. Il était chez la femme qui partageait sa vie. Il avait expliqué à cette dernière qu’il passait la soirée avec ses deux comparses, avant d’aller se changer en vitesse, tout en écoutant la journée de la femme. Il savait combien c’était important pour elle, alors, une fois prêt, il venait s’asseoir dans le canapé pour qu’elle continue. Chaque parole était importante. Parce que Caroline l’était. Il passait un petit moment avec elle avant de l’embrasser pour prendre ensuite son envol pour la ville de l’archer vert.

Il arrivait avec un peu d’avance, décidant d’aller rejoindre Ollie chez lui. Tout en prenant soin de le prévenir avant. Il passait le début de soirée avec lui, avant de se rendre au fameux match. Harold suivait le baseball, il était même un fervent supporter de l’équipe local de Coast City. Il avait même sa place d’abonné dans le stade de la ville. Mais ce soir, plus que le match, plus que le sport. C’était le fait de passer un moment avec ses deux frères. Il venait s’installer, commençant à discuter de tout et de rien avec Oliver. Harold venait tout de même prendre un pari avec ce dernier, pensant qu’il allait avoir quinze minutes ou moins de retard. Avant que le match ne commence. « Y’a pas à dire, t’as des places de malades ! » Disait-il, se sentant presque sur le terrain tant ils étaient bien placés. Lorsque les premiers points passaient, il sautait, faisait quelques tapes sur l’épaule de son ami, hurlant avec lui. Sifflant même. Jusqu’à ce que la voix d’Allen vienne l’interpeller. Lorsqu’il regardait sa montre, Hal se rendait compte de sa défaite.

Il venait prendre ce que Barry lui tendait avant de le donner à Ollie, pour prendre ensuite ce qui était à lui. « Soit en retard de trente minutes plus souvent alors » disait-il, pour taquiner son ami, avant de reprendre. « Du tout, je connais pas trop l’équipe pour cette année, mais Ollie me disait que le petit jeune, le 26, serait une pépite du coin. Et pour l’instant, il assure ! » disait-il, avant qu’Ollie puisse en rajouter s’il le voulait. Hal venait prendre le pari en premier. « cinq – trois pour l’équipe local. » Proposait-il. Avant d’entendre les réponses de ses amis. Il continuait à vivre le match avec eux. Réagissant à chacune des actions. Hurlant à pleins poumons tout en se levant en cas d’home-run, applaudissant une jolie course. L’homme était à fond dans la partie. « Ça dit quoi en ce moment ? » demandait-il, bien assis dans sa chaise, buvant un coup tout en rajoutant ensuite « On devrait se faire ça bien plus souvent ». Pour qu’enfin, un home-run se produise, faisant se lever le stade, dans l’euphorie, Hal faisait s’envoler sa boisson, qui venait retomber sur l’homme assis deux rangs plus bas. Il se retenait d’exploser de rire, voyant l’homme s’énerver en cherchant dans son dos. Il finissait tout bas. « Promis, j’ai pas fait exprès, elle m’a juste échappée des mains... » avec un rictus qui venait s’ajouter à son visage.


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AVATARS : jo-tag ; bigbadwxlf


Oliver Queen
Oliver Queen
One bad day
Autres facettes : Arès
Alias : Green Arrow

Âge : 40 ans

Palpitant : His pretty bird, Dinah Lance

Crédits : u.c.









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Mar 25 Avr - 19:07


life was meant for good friends and great adventures
ft. Hal & Barry

@Hal Jordan @Barry Allen

« Moins de quinze minutes, je tiens le pari, » Dans un rire sûr de lui, Oliver frappa amicalement l'épaule du pilote d'élite à ses côtés. Ce dernier était passé chez lui, et voilà que le milliardaire les conduisait à travers la ville, cheveux au vent, dans l'une de ses innombrables voitures de luxe, sportive de surcroit. Le privilège des fortunés. Direction le stade. Les abords étaient bondés bien sûr, mais ses places VIP lui permirent de rejoindre le parking privé dédié aux mécènes de son rang. Il se gara dans un crissement de pneus sec, éteignit le compteur et bondit par-dessus sa portière. « Je possède 37% du stade, ça donne certains privilèges, » se vanta-t-il en guise d'explication pour les places excellentes qu'ils avaient pour le match. Il vissa sur sa tête la casquette de l'équipe locale, pour laquelle il était forcément puisque c'était sa ville natale, sa ville à la fois aimée et haïe. Pour qui le connaissait vraiment, il était possible de savoir qu'Oliver se fichait pas mal de l'argent depuis Starfish Island et ses idéaux renversés. Mais il aimait donner le change en public, il se savait toujours pris en selfie de près ou de loin par des gens, voire filmé pour des Tiktoks. Il préférait donc avoir l'attitude du playboy qu'il prétendait être, même avec ses deux amis car ils étaient en public. Quand ils étaient dans un lieu moins bondé, il n'avait plus besoin d'en faire autant, heureusement les deux compères le savaient parfaitement et avaient le même souci concernant leurs propres identités secrètes.

Pendant bien plus d'un quart d'heure, ils suivirent les actions des joueurs avec cette passion triviale qui caractérisait les passionnés de sport. Pour ça, ils se ressemblaient bien une fois encore ! Les minutes passèrent, ils se laissèrent bien vite gagner par la folie du stade au rythme des actions de jeu. Le milliardaire prit soin d'harceler en parallèle leur ami commun qui se faisait désirer dans la longueur. A croire qu'il était soit pris par le travail, soit en train de sauver la veuve et l'orphelin à la dernière minute, soit... juste tête en l'air comme souvent.

« Allen ! L'homme le plus en retard du monde ! » s'exclama-t-il en voyant le dernier de leur joyeuse bande débouler enfin, les bras chargés de victuailles en guise de mea culpa. Hal lui passa les siennes. « Y a rien à faire mec, je comprendrai jamais comment t'arrives à être toujours à la bourre ! A ce rythme tu vas rendre Hal aussi riche que moi ! » ajouta-t-il en claquant le billet dans la paume du policier spatial, face à qui il venait de perdre cet énième pari. Il étreignit Barry maladroitement par-dessus le siège de Hal en guise de salut, tentant de ne pas renverser leurs bières respectives. « J'essaie vraiment de croire en toi, Bar', vraiment. Je veux croire à chaque fois que tu vas arriver plus vite, mais non ! Si je découvre un jour que vous êtes de mèche pour me plumer y a des projectiles qui vont voler quand vous vous y attendrez le moins croyez-moi ! » les menaça-t-il faussement, plus mort de rire qu'autre chose.

Installés, ils replongèrent dans le match, Hal plus près de Barry lui expliquant rapidement ce qu'il avait loupé jusqu'à présent. Oliver annonça à son tour son pari et la conversation délaissa quelques temps le match pour des nouvelles mutuelles. Il se pencha vers le milieu pour que le brouhaha autour ne« Des criminels à punir, de l'argent à dépenser, Batman qui ne sourit toujours pas aux réunions, bref, la routine en somme, et vous ? Ca en est où avec vous savez qui ? » résuma-t-il sans s'étendre avec un sourire en coin, relançant la balle dans leur camp en évoquant leurs cibles de coeur, Carol et Iris, avec qui c'était souvent compliqué. Parler de Roy et de Dinah était trop douloureux, et le lieu, l'ambiance, ne s'y prêtait pas. Il préférait garder ces blessures pour lui, prendre plutôt de leurs nouvelles et profiter de ce moment de détente avec ses amis, moments beaucoup trop rares comme le fit remarquer Hal. « Et comment qu'il faut qu'on se fasse ça plus souvent ! On va instaurer un planning obligatoire, au moins une fois par semaine, retard ou pas, et on donnera une heure en avance sur la vraie pour que Barry arrive à l'heure, » charria-t-il en trinquant avec eux. Il se leva brusquement en synchro avec le stade quand un nouveau homerun se produisit. Depuis le début du match, ça gueulait et commentait à tout va, un vrai exutoire qui faisait un bien fou au milliardaire plutôt éprouvé depuis des mois maintenant.

Oh, bordel... Voilà ce que pensa Oliver en voyant le type embibé de bière à cause de Hal commencer à s'énerver et à les foudroyer du regard. Bien sûr, Hal en rajouta, avec sa fausse bonne volonté plus provocatrice qu'autre chose... ce n'était pas comme s'ils pratiquaient ce sport de comptoir de bar depuis des années à présent, à chercher querelle à toutes les brutes qu'ils croisaient quand ils étaient ensemble et un peu éméchés. Ils étaient censés être adultes. Censés. « Tu fais chier Hal... » Il ne le pensait pas vraiment, sans surprise. Juste un soupir parce qu'ils allaient rater le match plus tôt que prévu. Il échangea un regard avec Hal, puis Barry. La suite était difficilement évitable malgré toutes les tentatives pour calmer l'homme, échaudé par leurs sourires de branleurs finis.

« Wow wow on se calme Dumbo ! » s'interposa Oliver quand le type rond de corps et de visage, mi-musclé mi-gras, et surtout doté d'une paire d'oreilles destinée au freinage d'urgence à ,'en pas douter, fonça sur Hal. Oliver mit son bras en travers par réflexe et le repoussa dans la rangée d'en bas où il bouscula plusieurs personnes. Dans l'action, l'archer fit tomber sa propre bière sur les types d'à côté qui déjà s'étaient retournés pour comprendre ce qui se passait avec leur pote. En plus de cafouillis avec Hal et Barry de leur côté, voilà que toute une partie de la rangée finit par se lever à son tour pour les toiser sévèrement. « VOUS ETES MORTS BANDE DE C*** ! » Et merde. Il avait pas aimé le surnom ni la bière. Difficile ce monsieur.

Un autre regard entre eux trois : ils savaient qu'ils pouvaient les bouffer en deux secondes mais en plein lieu public et sous identités civiles, c'était hors de question. Rameuter la sécurité n'était pas non plus une bonne idée. Alors, à la fin de ce regard partagé, suivi d'un sourire amusé, entendu, comme une belle routine entre potes, Oliver balança son verre dans la tête d'un des compères de Dumbo, se retourna pour bondir par-dessus son siège et prendre la fuite dans la rangée du dessus comme un délinquant de seconde zone. Il rejoignit la sortie menant dans les couloirs derrière les gradins, poursuivi par les gorilles comme Hal et Barry. Une fois hors de vue des gradins, et assuré que Barry ou Hal s'était chargé des caméras du couloir, il cessa de courir et se retourna pour faire face au clan des brutes.

« Réglez pas ça en une seconde s'il vous plaît. Faut laisser une chance à l'adversaire et de l'amusement à votre humain de compagnie, » annonça-t-il à ses amis, plaisantin jusqu'au bout. Car bien sûr, même sans trop de pouvoirs, les gars en face n'avaient aucune chance. Enfin, en admettant qu'ils aient le temps de les combattre. Ils n'étaient jamais à l'abri d'une urgence à gérer, surtout le flic galactique.



Barry Allen
Barry Allen
One bad day
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Alias : FLASH | Bolide écarlate qui ne laisse derrière lui qu'une vive traînée or et rubis

Âge : 37 ANS | La quarantaine commence à dangereusement s'approcher, mais cela ne l'effraie guère. On est jeune de 7 à 77 ans, après tout.

Palpitant : WESTALLEN | La foudre ne frappe pas deux fois au même endroit, pourtant celle-ci l'a bien heurté à plusieurs reprises. Avant même que son corps ne soit atteint, son cœur avait déjà été électrisé au moment de sa rencontre avec Iris West.

Crédits : irenegade (av), zaja (sign), jaifkncourtney (gif)









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Ven 12 Mai - 13:30


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Sans surprise, le speedster se fait à la fois enguirlander et charrier pour son manque de ponctualité. Il pourrait leur assurer que cela ne se reproduirait plus, mais il doute que cela suffise à convaincre ses collègues. Peut-on le leur reprocher quand on sait que ce n'est pas la première qu'il ferait ce genre de promesse ? Par chance, ces derniers se sont tellement accoutumés à son non-respect des heures qu'ils abordent rapidement d'autres sujets plus amusants. Les occasions de se réunir à trois sont si peu nombreuses qu'il est normal que chacun prenne des nouvelles des autres. « Le Picture News a envoyé Iris en Europe, donc je passe toutes mes nuits au commissariat quand je n'ai pas de méta-humains à stopper. » Le bolide anticipe déjà la réaction de ses deux amis. Les laboratoires du CCPD donnent parfois l'impression de plus lui faire office de domicile que l'appartement qu'il loue, encore plus quand sa partenaire est en voyage ou quand il n'a rien d'intéressant de prévu pour toute une semaine. Pour Hal et Oliver, qui sortent beaucoup plus souvent que lui, cela doit probablement paraître inconcevable d'autant apprécier les analyses scientifiques et les études de dossier. Ce n'est que depuis qu'il les côtoie que Barry a réellement commencer à s'ouvrir et à faire autre chose de ses soirées que jouer avec des échantillons dans des éprouvettes. Aussi imprévisibles soient ces deux zigotos, il lui faut admettre qu'ils lui ont tout de même énormément apporté. Leurs caractères légers lui permettent de se détendre et de s'ouvrir à des activités qu'il n'aurait jamais faites de lui-même. Sa présence au stade de Star City en est la preuve parfaite. A une autre période, Flash aurait plutôt observé le match sur l'écran du commissariat ou celui de sa résidence. Profiter de l'événement en compagnie de milliers d'autres spectateurs aurait grandement dérangé le casanier qu'il était. Il n'arrive malheureusement pas que des bonnes choses quand il les fréquente.

Les esprits commencent à s'échauffer suite à une gaffe de la part d'Hal. En observant l'attitude de l'homme sur qui le pilote a renversé sa bière, le bolide se lève et pose une main sur l'épaule de son camarade avec le futile espoir d'empêcher la catastrophe de se produire. « Contrairement à vous, je ne suis pas connu pour être un fauteur de troubles et j'aimerais bien que cela reste ainsi. » Il vaut mieux quand on représente les forces de l'ordre. Pas sûr qu'un milliardaire rebelle et un pilote casse-cou le comprennent cependant. Le playboy de Star City réprimande la lanterne pour son comportement, mais le coureur le connaît suffisamment pour savoir qu'il ne cherche pas réellement à le stopper. Le regard qu'il lui jette ensuite ne fait que lui confirmer ce qu'il a déjà vu arriver. Barry secoue négativement la tête pour essayer de l'en dissuader. Cette tentative foire évidemment, chaque action ne fait qu'énerver une personne en plus dans l'assemblée. Enfin, et à son plus grand désespoir, le point de non-retour est atteint. « Et c'est donc de cette manière que disparaît une partie de mon salaire, bêtement gaspillée sur le visage de monsieur Dumbo. » Maugrée-t-il en roulant des yeux, sans se rendre compte qu'il avait employé le surnom peu élogieux trouvé par Queen. Cela valait bien la peine de respecter son pari si c'est pour que tout ce qu'il a payé de sa poche finisse envoyé à la face de parfaits inconnus. Bartholomew pose ses mains contre ses hanches et baisse la tête, défait. Le soupir qu'il libère laisse comprendre qu'il s'est résolu à accepter l'issue la plus probable de la discussion. Il n'est en réalité qu'à moitié surpris par cette conclusion, cela finit bien trop souvent de cette manière avec Ollie et Hal, après tout. Le reste de la Ligue tend à le considérer comme le plus responsable de leur trio, et donc celui qui est censé tempérer les ardeurs de ses confrères sur le papier. Barry tente souvent de les calmer quand il constate qu'ils commencent à s'agiter, mais abandonne dès qu'il réalise que ses efforts sont vains. Sauf que notre ami est fatigué aujourd'hui, alors il n'essaie même pas de les contrôler. L'un des deux adorateurs du vert lancera la provocation de trop, puis ils en viendront aux mains. Moins habitué à participer aux bagarres de stade que ses camarades, le scientifique sera sûrement le premier à être mis K.O dans leur camp. Il râlera ensuite, mais ne retiendra pas la leçon et sera présent à la prochaine soirée entre potes qui sera planifiée. Le bientôt quadragénaire préfère nier la vérité quand on lui fait remarquer qu'il est bien trop sage pour mériter d'être traité ainsi par les deux voyous qui lui servent de meilleurs amis.

Allen suit donc le cours des événements. Oliver lance le go avec son jet de bière et le policier du CCPD l'imite avant de grimper maladroitement au-dessus de son siège. S'il portait son costume, personne n'aurait pu le rattraper. C'est une toute autre histoire quand il est en civil et que tous les regards sont posés sur lui. Incapable d'utiliser ses pouvoirs dans une telle situation, il devient alors l'homme le plus lent du monde. Les canettes à moitié pleines qui volent dans sa direction sont évitées de justesse, une chance que l'alcool influence la capacité de ses poursuivants à viser correctement. « Je peux vous demander d'attendre que j'assiste à au moins un homerun avant de foutre le bordel la prochaine fois, les gars ? » Avec l'altercation à venir en plus de son arrivée tardive, Barry comprend qu'il lui faut oublier l'idée d'assister au match. Il se sera déplacé jusqu'à Star City pour perdre une partie de sa paie dans un pari foireux et participer à une bagarre vide de sens. Il se met en garde une fois la confrontation prête à réellement démarrer. Ses poings se serrent, puis se lèvent jusqu'à la hauteur de son nez, faute grave car ceux-ci peuvent heurter son visage si jamais il tente de bloquer un coup. Dans la panique et avec l'adrénaline qu'il ressent, les conseils de Dinah lui passent au-dessus de la tête et annoncent déjà l'apparition d'un œil au beurre noir avant même que la première offensive ne soit lancée. La Speed Force aura bien fait de rapidement le guérir, heureusement.

Ce n'est pourtant pas ce qui se produit. A la place, le trio de justiciers se retrouve mystérieusement entouré d'un halo orange avant que leurs corps ne disparaissent petit à petit. Il n'en faut pas plus pour arrêter la course de leurs assaillants, qui penseront sans doute halluciner à cause de l'alcool. Le speedster jette un regard troublé vers ses collègues, espérant stupidement que l'un d'entre eux soit en mesure de lui fournir une explication sur ce qu'il se passe. Lorsque la lumière qui les enveloppe se fait plus forte, les trois se voient téléportés en plein milieu d'une arène remplie non plus par des joueurs de baseball, mais par diverses créatures qu'il est impossible de rencontrer sur Terre. Des monstres à tentacules et faisant dix fois leur taille les toisent, tandis que des humanoïdes violets situés de l'autre côté de la zone ne leur prêtent même pas attention. Des aliens, génial. D'autres espèces surgissent de la même manière qu'eux juste après. L'un des nouveaux arrivants s'excite et cherche à s'enfuir, mais se fait immédiatement mater par ce qui s'apparente à un garde. Barry lève les yeux au ciel - ou son équivalent extraterrestre, en tout cas - puis pousse un soupir d'exaspération. « Chouette, en fait c'est l'univers tout entier qui s'est ligué contre moi pour m'empêcher de voir un match de baseball. » Il n'a même plus la force de s'étonner ou de s'énerver, au point où ils en sont. Sur l'instant même, il regrette plus d'avoir refusé la proposition d'Iris de prendre une semaine de congé et de la suivre sur le Vieux Continent. Passer sept jours loin de tout tracas avec l'amour de sa vie ou servir de gladiateur improvisé dans un coin perdu de l'espace ? Le choix est vite fait, visiblement. Ses yeux blasés se posent sur Hal, la seule personne possiblement capable d'en savoir plus que lui sur la situation. « L'espace, c'est censé être ton dada. Tu peux nous expliquer pourquoi les petits hommes verts ont remplacé l'équipe de Star City, du coup ? » Détendu en apparence, Flash sent déjà la crise de panique arriver si la lanterne lui déclare être dans l'ignorance totale, lui aussi.

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Hal Jordan
Hal Jordan
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Âge : 36 ans déjà, bientôt 37

Palpitant : En couple depuis un bon moment avec la femme de sa vie, la seule et unique. Caroline Ferris

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Mer 31 Mai - 12:49

life was meant for good friends and great adventures

A GOOD FRIEND KNOWS ALL YOUR BEST STORIES, BUT A BEST FRIEND HAS LIVED THEM WITH YOU. A BEST FRIEND DOESN'T LET THEIR FRIENDS DO CRAZY STUFF ALONE. FT.  @Barry Allen &  @Oliver Queen


Harold commençait à assister au match, réagissant comme un vrai supporter, bien que l’équipe présente sur le terrain ne soit pas la sienne, il était à fond dedans. Oliver semblait l’être aussi, ce qui donnait une bonne ambiance entre eux, mais aussi avec la tribune autour. Lorsque Barry arrivait, Hal tapait doucement sur l’épaule de son ami déjà en place avec lui, gagnant son pari avant de le charrier quelque peu. Le policier de l’espace avait compris qu’avec le speedster, il fallait souvent parier l’inverse pour gagner, ce qu’il tentait de plus en plus, voyant des succès s’enchaîner. Faisant mine de ne rien savoir quand l’archer soupçonnait une triche. Barry venait les rejoindre, avant de commencer à discuter.

Oliver commencer une conversation légère, où Harold lui répondait plutôt facilement. «  Ça se passe super bien, ça doit faire un bon moment qu’on ne se prend plus la tête, c’est tellement reposant. Vous devriez passer de temps en temps à la maison ! » Il savait que ce n’était pas l’envie qui manquait pour ses compagnons, mais plutôt le temps. Avant d’acquiescer au fait de devoir se prendre plus de temps pour s’organiser ce genre de soirée entre eux. Souffler et prendre du bon temps, c’était toujours essentiel pour des héros comme ces trois-là. Puis, venait la gaffe, Hal catapultait sa boisson sur quelqu’un d’autre. Qui n’avait pas l’air d’apprécier la douche de surprise. Il pouffait de rire quand Oliver lui disait qu’il faisait chier, parce qu’il ne l’avait pas fait exprès. Il entendait le speedster vouloir désamorcer la situation de son côté, mais lorsqu’il voyait Ollie s’avancer et commencer à tenter de gérer les choses, il savait. Il venait avec lui pour le soutenir en cas de problème. Quand l’archer se mettait à hurler suite à la chute de sa boisson, c’était leur moment de gloire. Mais pas ici, l’endroit était bien trop peuplé. Oliver commençait à fuir, suivit de Barry et enfin Harold. Ce dernier poussait presque Barry qui semblait être bien trop lent à son goût. L’homme le plus rapide du monde avait tant de mal à une personne qui courait à une vitesse normale. Il venait lui répondre. « C’était un homerun là, à moins que t’as regardé ma boisson s’envoler à la place » Disait-il, en rigolant tout en suivant ses deux amis. Quand l’archer vert se stoppait, Harold en faisait autant. Bague à son doigt, il pouvait l’utiliser sans que personne ne le remarque, comme le faire pour tourner les caméras dans un sens où elle ne serait pas utilisable. Avant de se préparer à combattre. Le pilote savait que Barry n’était pas un grand fan des bagarres, c’était pourquoi il s’adressait principalement à Oliver. « Tu te charges de la gauche et moi de la droite ? »

Mais la bagarre n’arrivait jamais. Un halo venait les recouvrir, avant de faire disparaître les murs du gradin pour faire apparaître autre chose. La vue n’était pas la première chose qui venait frapper l’homme, avant toute chose, une puissance, quelque chose de sombre, d’envahissant. Quelque chose qui était tellement fort qui venait l’enivrer une demi seconde. Comme touché du bout des doigts cette dernière. Une sensation de bien-être montait en lui, avant de totalement disparaître. Comme arraché, laissant un vide. Une envie de l’avoir à nouveau, d’avoir ce pouvoir dans les mains comme tantôt. Quelques étincelles orange sortaient de sa bague, qu’il ne remarquait pas. Mais possiblement visible pour ses collègues. Avant de se rendre compte de l’endroit. Une arène, remplie d’alien. Il ne savait pas exactement où ils étaient, mais reconnaissait quelques races qui le laissait supposer la zone. Il faisait un petit tour sur lui-même avant de voir que la forme était circulaire, laissant des menaces de tous les côtés. Il n’avait pas le temps d’échanger une parole avec ses compères qu’une voix bien trop rauque, se faisait entendre. L’anneau traduisait, tout en le répétant à l’oral pour que les deux hommes l’entendent.

« Habitant de Muvoria, explorateur, mercenaire ! Bienvenue dans cette nouvelle édition du combat à mort le plus divertissant de ce coin de l’univers ! » Commençait-il, avant que Hal puisse le trouver du regard, une forme proche d’une limace. Il reprenait. « La pêche a été fructueuse, un grand combat nous attends, n’oubliez pas de dépenser vos fortunes dans nos paris ! » Il levait les bras, tout en hurlant « Gloire à l’Empire Muvorien ! » Suivi de la foule qui provoquait un brouhaha. Hal faisait un pas proche d’Oliver et de Barry, avant de leur annoncer. «  Alors, la bague n’a pas encore établi notre localisation précise, mais vous voyez les gélatines violettes là ? Ils sont originaires du secteur 2828 , c’est pas super super loin de la Terre. Et vu le nombre, on doit se trouver quelque part dedans. » Avant de tourner la tête, inspectant les hauteurs de l’arène. « Quelque chose n’est pas normal ici. » Disait-il, trait froncé, quelque peu troublé par son expérience de plus tôt. « L’avantage, c’est qu’on a pas besoin de se cacher ici. » Il terminait juste sa phrase qu’une lumière intense venait rayonner dans l’arène, d’une couleur verte, sa couleur. Révélant son pouvoir et sa détermination par la même occasion. Il ne savait pas encore la raison de leur kidnapping. Mais une chose était certaine. Il n’allait certainement pas laisser quoi que ce soit arriver à ses frères. S’il fallait qu’il reste à deux cents pour cent, il allait le faire. « Gaffe aux petits hommes verts Barry, ils ont tendance à coller à la peau. » Disait-il, avec une humeur et une allure qui lui allait bien plus. Harold venait cloner sa bague en deux fois, une pour Ollie, et une pour Barry. Il ordonnait par la pensée à ces dernières de rester au contact des deux hommes. « Ce ne sont pas de réelles bagues, mais elles feront office de radio, pour se parler mais aussi de bouclier ou d’arme offensive. Vous pouvez leur demander les choses, elles feront en conséquence. » Finissait-il de briefer ses collègues. « On sera rentré avant la fin du match, promis. J’ai pas envie d’affronter la colère d’Iris. » Disait-il, avant de se tourner et de se rendre compte que l’arène se remplissait de monstre et d’alien en toute sorte. Prêt à attaquer. L’avantage, c’était que chacun du groupe était maître d’une discipline. Barry était le maître au sol, Ollie faisait de la distance son plus grand allié, alors qu’Harold était le prédateur des cieux. Il venait finalement ajouter. « Prêt quand vous l’êtes ! » Alors que les adversaires commençaient à charger, hurler et attaquer. Le premier mouvement du Lantern était de fabriquer un immense bouclier, protégeant le flanc de l’archer avant de commencer à combattre les monstres. Barry était bien trop rapide pour avoir besoin d’être couvert. Green Lantern lançait les hostilités pour le trio de Terrien.


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