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(john constantine) madness is the only constant
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Sam 8 Avr - 15:16

john constantine
Ft. dan stevens

"Great stuff. I’m John - and I’m a bastard."


GROUPE: OUTLAWS

ID card
❯ nom complet : John Constantine, prononcé ‘a-ï-ne’ pas ‘een’, merci bien. Un nom qui sonne comme une punchline pour les uns, comme une mauvaise blague pour les autres, et comme une menace pour les malheureux qui ont la malchance d'être tombés entre les griffes de cette longue lignée de rebelles destructeurs du monde occulte.

❯ alias : Pas le genre à se farcir de surnoms - de toute façon, l'Histoire s'en charge pour lui. The Laughing Magician, the Constant One, le Saint du dernier recours, sobriquets hérités d'ancêtres qui ont fait trembler dieux et diables dans leurs bottes - Hellblazer pour les d'jeunz.

❯ âge : Trente-cinq ans, personne ne s’explique bien comment - lui encore moins que les autres.

❯ date et lieu de naissance : 10 Mai 1983, dans les rues insalubres d’un Liverpool sous dérive conservatrice et thatchérienne. Ou est-ce que c'était 63 ? Wait a minute… Père ouvrier qui lui a fait payer sous les coups et les insultes la mort prématurée de sa mère, qui a poussé son dernier souffle quand John a poussé son premier cri, sans jamais avouer qui en était le vrai responsable, soeur protectrice mais dépassée, famille fracassée hantée par trop de fantômes pour tous les compter.

❯ lieu d'habitation : C’est à Londres qu’il a passé toute sa vie d’adulte, dans ses entrailles crasseuses et peu reluisantes sous le vernis polis de la bien-pensance anglaise. C’est avec les punks à chien, les artistes mal-aimés et mal compris, les contestataires politiques, les activistes qu’on n'écoute pas, les minorités qui peinent à se faire entendre, qu’il a vécu et grandi - jusqu'à ce qu’il se réveille par surprise dans l’asile d’Arkham, sans explication aucune. Depuis, il traîne ses grolles dans les bas-fonds de Gotham, où il se fond dans le décor avec une aisance déconcertante. Il a récemment acquis la méconnue Maison du Mystère, dont il a fait sa résidence secondaire.

❯ Occupation : Emmerdeur de première. Survit d’escroqueries qui ne font de mal qu'à ceux qu’il a dans le collimateur, ou parfois en jouant le détective occulte et l’exorciste pour celles et ceux qui ne savent plus bien vers qui se tourner. C’est pas ce qu’il y a de plus glorieux, surtout quand, comme dans la plupart des cas qu’il traite, il ne s’agit que de rats dans les murs ou d’une pauvre victime de psychose pas traitée, mais ça paie les pintes au bar et les chambres de motel miteux, quand il en a besoin. Quand les ressources s'épuisent, il se réfugie dans la Maison du Mystère, où il ne manque de rien (mais où les fantômes ont une sérieuse tendance à lui chercher des noises).

❯ État civil/Orientation: Célibataire chronique dont le coeur bat d’amourette en amourette, incapable de tenir une relation plus de quelques semaines, quelques mois au mieux. Qu’iels se lassent du gimmick de l’anglais mystérieux et tourmenté au bagout charmeur, ou qu’il leur arrive une merde par pure association à son nom, ou directement par sa faute, ca ne dure jamais bien longtemps. Quant à ses préférences… il n’aime pas rentrer dans des cases.

❯ Affiliation : Il se plaît à dire qu’on n’est jamais mieux servi que par soi-même, et qu’il travaille seul. Pourtant, force lui est d’avouer qu’il lui arrive à l'occasion de nouer des alliances qu’il estime temporaires, mais qui ont une fâcheuse tendance à se répéter - les gais lurons de l’affectueusement surnommée Trenchcoat Brigade, ou encore quelques vieilles connaissances qui se retrouvent à l'Oblivion Bar… Faudrait voir à ce que personne n’aille choper l'idée d’en faire un truc permanent, quand même.



Rorschach test
T’es quand même un sacré connard, John Constantine. Salaud, crevard, escroc, tout autant de qualificatifs qui lui collent à la peau depuis des années, réputation largement méritée qu’il porte comme un badge d’honneur parce que ça vaut mieux que pleurer dessus. John Constantine, quiconque a eu affaire à lui vous le dira, n’est pas un type bien. Vous avertira de ne pas vous laisser prendre au piège de ses airs tantôt débonnaires, tantôt charmeurs, avec cet accent de Liverpool et cette mine de rebelle indocile. Le numéro du mystérieux anglais au passé tourmenté, ça fonctionne, et ça fonctionne très bien, jusqu'à ce qu’on se retrouve pris au piège dans son monde où plus rien ne compte que sa propre survie et ses propres plans. Certains l’appellent terriblement charismatique, d’autres terriblement manipulateur : si John Constantine veut quelque chose, il n’est aucune machinerie, aucun tour de l’esprit, aucun chantage et aucune arnaque qu’il ne mettrait en place pour l’obtenir. La vie qu’il mène est terriblement dangereuse, et il la joue comme d’autres jouent au poker : addict aux coups fourrés, professionnel du dernier mot et du coup de trafalgar, John Constantine est un junkie accro à la sensation d’arracher la victoire à quiconque il a dans le collimateur, qu’il s’agisse du vieux plouc raciste du coin, d’un ministre, d’un dieu d’un panthéon oublié, ou des trois seigneurs de l’enfer. Et une addiction, il en a douloureusement conscience, ça se paye, au prix fort. Désabusé et ravagé par une vie de sacrifices et de mauvais choix, de tentatives de rédemptions avortées, John est un expert de la rechute, malgré toute la bonne volonté qu’il peut y mettre a chaque fois. Humain, trop humain, dévoré par le poids de ses péchés et la culpabilité qui le dévore de l'intérieur, John oscille entre ses démons et ses bonnes résolutions, ses moments de gloire et ses chutes désastreuses, les puits les plus noirs et l’envie de croire qu’il existe une lumière au bout du tunnel, même pour un instant.


Pouvoirs et abilités
- Art de la manipulation et du mensonge : Vous savez ce que c’est, la magie ? Fondamentalement, c’est le talent de convaincre la réalité elle-même de croire à un mensonge. Tel est le précepte qui pose les fondations de toute la vie de John dans les méandres de l’occulte, et tel est le precepte qui lui a permis de rester en vie toutes ces années, bien qu’il ne soit pas homo magi, ni doté d’extraordinaires talents occultes. Sa force, son talent, ce qui le tire de tous les pétrins et lui permet toujours d’avoir le dernier mot, c’est son esprit retors : dans toute situation, John use de ruse et machinations pour faire plier à sa volonté ceux qu’il ne serait pas capable de battre autrement. Marchandage, chantage, mensonge, John est doté d’un sens de l’improvisation extraordinaire et d’un talent incomparable pour identifier les points faibles d’autrui et les exploiter jusqu'à la moelle. Qu’il s’agisse d’abuser de l’affection et la confiance d’un vieux copain et son addiction à l'héroïne pour le convaincre de servir de réceptacle à un démon qui le tuera sans le moindre doute, d’utiliser son meilleur pote comme appât pour faire sortir de l’ombre le tueur en série cherchant à atteindre sa famille, ou brandir la menace d’une guerre sans précédent pour convaincre les trois seigneurs des enfers de soigner son cancer, John maîtrise l’art de la machination et du mensonge comme personne, les utilise sans scrupule, et privilégiera toujours un plan bien ficelé ou c’est lui qui pousse les pièces de l'échiquier, à toute démonstration de pouvoir.  

- Magie noire et artéfacts : John n’est pas né homo magi. Malgré la longue histoire qui lie les Constantine au monde de l’occulte, il est un être humain tout ce qu’il y a de plus normal… ou a peu de choses près. Une mondanité qui lui a souvent valu le mépris de ses collègues (à qui il se fait un plaisir de retourner un rictus et un doigt d’honneur); et qu’il brandit pourtant comme un atout. Ce qu’il ne possède pas comme talent inné, il compense par une connaissance encyclopédique de la magie, en particulier de la magie noire et la démonologie. John est l’un des praticiens du monde occulte les mieux éduqués qu’il soit : la connaissance, c’est le pouvoir, en particulier lorsqu’il s’agit d’affronter démons et forces obscures toujours prêtes à exploiter la moindre faiblesse à leur disposition. Sa connaissance des différents royaumes des enfers, des démons et entités maléfiques qui y règnent, leurs variations d’une culture et d’une croyance à l'autre (du catholicisme aux anciennes croyances mésopotamiennes en passant par le bouddhisme et les tribues amazoniennes les plus reculées), lui permet de toujours être préparé à toute situation. Des années d'études et de recherches lui ont permis d’amasser nombre d’artefacts occultes qu’il utilise avec parcimonie, quand la situation s’y prête, et il est étroitement formé à toutes formes de pratiques d’exorcisme. Les démons, tout ce que la magie renferme de plus noir et sombre et terrifiant, c’est son territoire de predilection - au point que sa reputation en enfer même n’est plus à faire, et qu’il compte un certain nombre d’ennemis dans le royaume du First of the Fallen… mais aussi un certain nombre de partenaires d’affaires. Si John ne possède pas de pouvoir occulte propre, il a récemment été infecté du sang du démon Nergal : la présence d’essence démoniaque dans son organisme semble rendre la pratique de certains sortilèges et rituels plus faciles et moins coûteux, et l'immuniser à certaines influences occultes… tout en le rendant plus susceptible à d'autres, et mettant en péril ce qu’il peut bien lui rester de santé mentale.

- Connaissances des artefacts divins et mystiques: Tout comme la magie noire, John possède une connaissance étendue des artefacts devins et mystiques, appartenant à divers panthéons connus ou oubliés. Certains d’entre eux ont échoué à la Maison du Mystère qui est entrée en sa possession, et où il les conserve précieusement pour éviter qu’ils ne tombent entre pires mains que les siennes. N'étant lui-même pas d’essence divine ni même magique, John doit faire preuve d'extrême prudence s’il souhaite les utiliser, et bien souvent payer un prix bien plus élevé qu’il ne peut se le permettre - il se contente donc de les stocker, les confier à plus compétent que lui, ou trouver une autre pauvre pomme pour se farcir la note a sa place.

- Intimidation et persuasion : Le penchant encore moins reluisant et plus extrême de ses talents de menteur et manipulateur. En cas de besoin, John n'hésite pas à recourir à la menace pour obtenir ce qu’il veut, quel que soit l’interlocuteur qui se trouve en face de lui. Observateur et sans scrupules, peu lui importe qu’il soit face à un démon ou un héros : si l’urgence d’une situation l’exige, il est prêt à endosser le rôle du salopard qui tord le bras d’autrui jusqu'à décrocher la lune. Très adroit de ses mots, et préparé à toute éventualité, John est un redoutable négociateur… qui parfois ne laisse pas de place à la négociation. Bien entendu, il connaît les risques d’une telle stratégie - et il n’est pas si rare pour lui de se mordre les doigts après s'être attaqué un peu trop frontalement à plus gros poisson que lui.

- Magie blanche et artéfacts : Les connaissances magiques encyclopédiques de John s'étendent à la magie blanche, plus éloignée de son terrain de jeu habituel, mais bien pratique dans certaines situations. Les magiques druidiques de l’Europe ancienne et celles d’Asie d’Est et du Sud, sont celles avec lesquelles il est le plus familier, en particulier toutes sortes de rituels de purification et de divination. Hélas, la présence du sang de Nergal dans ses veines rend l’application de ces sorts plus ardus que par le passé. C’est aussi dans cette catégorie, sans doute, que se classent les deux seuls pouvoirs qu’il semble avoir hérité de ses ancêtres. Héritier de la lignée des Laughing Magicians, John est capable de voir sous le voile de la réalité, et de naviguer sur les ondes de la synchronicité : de voir par lui-même, instinctivement, inconsciemment, ce qui relie entre eux des événements que l’on appellerait coincidences, et manipuler ces fils a sa guise. Totalement subconsciente, ce talent donne a tous l’impression que John est toujours au bon endroit au bon moment, ou il est censé être au moment ou il est censé l'être, et de toujours avoir à sa disposition les ressources dont il peut avoir besoin pour se tirer d’un mauvais pas (un contact, un artefact, etc). Enfin, John est ce que certains cercles occultes appellent un Worldwalker : quelqu’un capable de voyager entre certains mondes et dimensions. Chez John, ce talent se manifeste principalement par sa connaissance (parfois expliquée, parfois non) d’innombrables points de contact entre la Terre, l’Enfer, et divers royaumes magiques qui ne devraient pas lui être accessibles. Personne ne sait exactement comment il a eu connaissance de ces entrées, ni comment il y accède si facilement - pas même lui.

From time and space
❯ De quelle Terre provient votre personnage? Si votre personnage vient du multivers, où se situe-t-il sur le spectrum de ses souvenirs?
John vient de Terre-V… pour autant qu’il sache ? Toutes ces histoires de multivers, c’est pas vraiment dans le vocabulaire des cercles qu’il fréquente, plus habitué à parler de dimensions et de mondes cachés que de timelines parallèles. Les souvenirs de sa vie sont linéaires, pour autant qu’il puisse le dire… du moment qu’il ne regarde pas de trop près dans les détails. Le problème, quand on évolue dans le monde qu’il fréquente depuis si longtemps, c’est qu’il est facile de perdre pied dans la réalité, de ne plus distinguer le vrai des hallucinations, des rêves, des cauchemars, des visions, et des prophéties. Ajoutez à ça le cocktails de pathologies que John sait qu’il se trimballe à force d’affronter l'innommable et l’indescriptible ? Il le confie volontiers : sa mémoire et sa perception de ce qui est réel ou non sont de véritables passoires, ou des patchworks particulièrement mal ficelés, morcelés, et pas toujours agencés dans le bon sens. Alors, si des souvenirs dans tout ce fatras ont l’air de se contredire, s’il se souvient de visages qu’il n’a pourtant jamais vus… multivers, magie, ou cas typique de personnalité schizoïde ? Quelle importance de faire la différence. John n’a aucun complexe à l'admettre lui-même : la folie, c’est la seule constante qui compte.

Hidden skills

❯ Art de la manipulation et du mensonge
3

❯ Magie noire et artéfacts
2

❯ Connaissances des artefacts divins et mystiques
2

❯ Intimidation et persuasion
1

❯ Magie blanche et artéfacts
1

The mastermind behind the screen
❯ Pseudo : Cha.

❯ Pronoms: Elle/elle.

❯ Pays: Grande-Bretagne russe

❯ Avez-vous l'âge de la majorité: Oulala oui  Arrow

❯ Fréquence de connexion : Quotidienne  brill

❯ Autres comptes : Me connaissant ça ne saurait tarder, y a déjà une liste Arrow

❯ Hypothétiquement, acceptes-tu de recevoir un aléas du destin ? OUI OUI OUI OUI  brill  brill  brill

❯ Un dernier commentaire?: L'aventure reprend et je vous kiffe  russe



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Sam 8 Avr - 15:16

Once upon
a deadly time


"Citation pour l'histoire"


Juin 2022.

Madness.
Madness is the only constant.


La voix résonne encore dans son esprit quand John s'éveille en sursaut ; et elle résonne encore dans son esprit quand l'équivalent de trois litres d’eau décide de s’infiltrer dans ses poumons sans avoir la courtoisie de lui demander son accord. John panique, se débat (t’es en train de te noyer, John - faudrait voir à te secouer un peu, non ?), englouti dans ce qui lui donne l’impression d’un puits sans fond sans lumière ni issue…

Jusqu'à ce que le matelas sous son dos ne reprenne consistance et qu’il ne se redresse d’un coup, à grands renforts d'éclaboussures dignes d’un gosse de quatre ans apprenant tout juste à patauger, dans une cellule envahie par les eaux stagnantes de la baie de Gotham.

Ah.

L’eau crasse et glaciale a au moins le mérite de court-circuiter son cerveau juste assez pour lui permettre d'émerger du brouillard intense qui le paralyse (bordel, ma tête - c’est quoi ce merdier? Je suis ou ?) (t’as oublié, John ? Pourtant, les asiles, ça devrait te connaître) (asile ?). John baisse les yeux sur ses fringues détrempées, et ne reconnaît pas l’uniforme qu’il porte. Pris d’un haut le cœur, il se lève et chancelle, à peine soutenu dans son équilibre par l’eau qui lui arrive à la taille. (Allez John, fais un effort. Essaye de te souvenir, mon petit pote. Ça commence ou, l’histoire ? Là où elle commence toujours, à Liverpool…).

Liverpool. C’est vrai, ça commence toujours à Liverpool - dans un logement social miteux, où se terrent un père, une fille, et un fils. Pas de mère à l’horizon : on dit qu’elle est morte en donnant la vie au petit dernier, au petit garçon, crime originel que le père s’empresse d'épingler sur le nourrisson, un de ces mensonges qui deviennent réalité si on y croit assez, parce que la réalité n’est jamais qu’une question de croyances et de perspectives. Il y a beaucoup de fantômes, chez les Constantine : celui de la mère, celui de la pauvreté, celui de l’alcoolisme rampant du père, de la terreur de la soeur qui tente tant bien que mal de faire tampon tout en rêvant d’ailleurs, celui de la haine du fils qui ne rêve que de tordre le cou à ce père qui le roue de lattes et d’insultes. Le gosse trouve ses échappatoires ou il peut : les terrains vagues d’a cote ou il enchaine les conneries, les bastons qui lui laissent le nez en sang et la rage au ventre, la chambre de sa sœur à laquelle il s’accroche en bon petit frère casse-pieds. Et puis, un jour, l’occulte. La magie, dans un drôle de bouquin trouvé par hasard. L'échappatoire ultime, la promesse de forcer la réalité à changé pour lui, de plier le monde selon son bon vouloir, au lieu de le subir a chaque instant.

(Tu commets ton péché originel à l'âge de dix ans. Tu te souviens, Johnny ? Dix ans, premier rituel, pour enfermer ton innocence d’enfant et d’en débarrasser à tout jamais, parce que t’en peux plus, du poison qui te ronge de l'intérieur, parce que tu veux l’affronter face à face, à armes égales. Tu commets le deuxième à quinze ans, quand ton père, lors d’une énième dispute qui en vient aux mains, brûle tes livres de magie, parce qu’un gosse normal, ca joue au foot, ca se fait des potes, ca se noie pas dans ces trucs de hippie efféminé. Toi, tu boues de rage. Les coups, les insultes, passe encore. Brûler des livres ? Y a que les fascistes qui brûlent des livres, papa. Alors t’en sors un que t’as sauvé de l'autodafé, tu pioches un sort au hasard, et tu maudis ton père. Les premiers jours, tu ne vois pas de différence. Tu te dis que tu t’es planté. Puis les semaines passent, et ton père s’affaiblit. Ne devient plus que l’ombre de lui-même, de l’ogre qu’il a toujours été. Tu paniques. Tu voulais pas le tuer, bordel, juste lui en faire baver comme lui t’en a fait baver - t’essayes de faire marche arrière, d’annuler la malédiction, en vain. Première fois que tu comprends, à la dure, que toute magie a un coût. A seize ans, rongé par la culpabilité, et pris d’un accès de lâcheté, tu te barres. T’abandonnes Liverpool, ton père, ta sœur Cheryl qui reste seule avec l’ogre. Tu sautes dans la première bagnole qui te prend en autostop, et tu files vers Londres.)

Ça y est, ça lui revient. John grogne et chancelle sur ses appuis, tente tant bien que mal d’avancer dans l’eau (bordel, c’est quoi ce merdier, une fuite ? une inondation dans la baie ?) pour gagner l'évier à peine fonctionnel de sa cellule, et attrape, dans le reflet du miroir décrit en face de lui, l’image de son visage émacié. Il ne devait pas avoir bien meilleure mine quand il est arrivé à Londres, maintenant qu’il y pense. Les premières semaines de galère, à traîner et survivre dans les squats de Brixton, entre junkies et prostituées et rebuts de la société que personne ne veut regarder en face. La rencontre avec Chas, un autre gosse paumé des banlieues londoniennes. Une mère complètement givrée, qui a buté son père, probablement son frère aussi ; une sorcière qui s’amusait à terroriser son dernier rejeton en lui promettant qu’il serait le prochain. Sorcière au sens littéral du terme : son familier était lui aussi une créature vicieuse, et en gage d'amitié envers son nouveau pote ? John s’en est débarrassé. Tuant la mère de Chas au passage, parce qu’une sorcière ne survit pas sans son familier. Troisième péché originel, et celui qui a scellé une amitié indéfectible pour les décennies à venir. En parlant de Chas - il est ou, ce con ? Il sait que je suis là, au moins ? John se retourne, trouve la porte de sa cellule dans sa fièvre un peu démente, et se fraye un chemin dans l’eau jusqu’aux lourds barreaux… qui refusent de bouger. “Putain.” Qu’il siffle entre ses dents ; avant d’apercevoir, flottant à peine à quelques centimètres de là, le cadavre d’un garde. Un brusque accès de nausée le submerge (... il s’est pris un débris dans la tête, le garde, non ? Ca expliquerait la plaie béante…) ; mais aux grands maux, les grands remèdes. A grands renforts d'étirements et de grimaces douloureuses, John tend le bras à travers l’ouverture des barreaux, doigts cherchant désespérément à se saisir du pass à la ceinture de la victime (sérieux, une inondation, un garde mort, on est ou, dans Pirates des Caraïbes ?) (haha, ça te rappelle rien, John ? Une cellule, un asile, tu connais bien, non ?) (oh ta gueule, toi.)

(Mais si, souviens-toi. Tes premières trempettes sur la scène occulte, la vraie, celle qui se planque dans les bas-fonds de Londres sur la scène alternative de la scène alternative. Tu fréquentes les concerts punk, et de fil en aiguille, tu rencontres des illuminés, qui se disent sorciers, chamanes, devins. Tu rencontres Ray Monde, ce dandy plus âgé qui te prend sous son aile et s’occupe de toi comme le ferait une grand-mère soucieuse, t’introduit auprès des noms qui te permettent de te former. Avec Chas a tes cotes, tu montes un groupe, les Mucous Membranes, groupe de punk, groupe d’occultistes, groupe de petits cons qui pensent que le monde leur appartient. De concert en exorcisme et d’exorcisme en concert, c’est la belle vie, l’anarchie. Jusqu'à Newcastle.)

(Aaah Newcastle. T’as déjà ta sainte trinité de tes trois péchés originels, mais celui-la, c’est le pire de tous, pas vrai ? Le Casanova Club, les rumeurs disant que le propriétaire, Logue, force sa fille Astra a participé à des cérémonies satanistes. Justiciers de l’occulte, vous supportez pas qu’on s’en prenne à des gosses. La plupart d’entre vous sont des gosses fracassés, après tout - solidarité oblige. C’est toi qui mènes la charge, et c’est toi le premier à comprendre, quand vous arrivez et apercevez le tapis de cadavres dans cette cave des enfers, que la petite Astra s’est déjà défendue toute seule. Norfulthing, qu’elle s’appelait, la créature infernale qu’elle a invoquée sans même en avoir conscience, cause du carnage alentour. Et toi, ton idée brillante, c’est quoi ? Exorciser la bête ? Que nenni. Toi, ton idee, ta putain d’idee brillante qui vous condamne tous, c’est d’invoquer un demon plus puissant, pour vaincre la bete. Sauf que t’oublies la première règle de la magie, John : ne jamais invoquer un truc que t’es pas sûr de pouvoir remettre dans sa boite. Tu te fais avoir, comme un débutant : tu te trompes de nom dans le rituel, t’as aucune emprise sur le démon, qui se déchaîne. Sur Norfulthing, sur tes potes. La moitié d’entre eux sont éviscérés sous tes yeux. L’autre ne se remettra jamais de la scène. Puis le demon ignore tes plaidoiries, tes menaces, t’apprend que t’as merde comme pas deux, et pour punition, emmene la petite Astra avec lui en enfer. T’as beau hurler, il ne se retourne pas. Tout ce qu’il te reste, quand les cris se taisent enfin, c’est le bras de la gosse, un tapis de corps sans vie, et ton âme damnée pour l'éternité.)

(C’est à partir de la que ca devient flou tes souvenirs, pas vrai ? Le choc, le traumatisme, le PSTD qui se suivra toute ta vie, ca renverse un peu le cerveau, faut bien le dire. Tu te fais arrêter, les flics te mettent tout sur le dos - evidemment que personne ne croit à tes histoires de démons, pas même ton avocat, qui réussit à t'éviter la taule en plaidant la folie. A la place, tu finis à l'asile de Ravenscar. Tu sais plus combien de temps t’y restes, entre les gardes qui te croient aussi coupable et te font payer ton crime, le psy qui s’amuse avec ses méthodes expérimentales sorties d’un manuel de médecine des années 40, et tes codétenus complètement hors de la réalité. L’enfer sur terre. T’en parles pas, de Ravenscar, même pas aujourd’hui, même si t’y penses tout le temps. Puis un jour, on signe ta libération. Pas d’explication, rien. T’es un homme libre. Alors tu prends tes cliques et tes claques, et tu rentres à Londres.)

Et la suite… La suite a toujours été un peu confuse. Une série d'épisodes d’une saga sans réelle continuité, dont il oublie ce qui tient des souvenirs et de cauchemars. Les images sont là, mais l’ordre exact dans lesquelles elles sont organisées ? C’est une autre paire de manches. En cherchant un peu, John se souvient d’une vie disjointe. D’une créature des marais et d’une famille, perdue au coeur du bayou louisianais ; d’une promesse hasardeuse et d’un pari fou, duquel est censée naître une petite pousse salvatrice, dont ne résulte au final que chaos et destruction. Il se souvient d’une magicienne qui parle a l’envers et lui a volé son coeur, d’un père qui le regarde de travers, d’une séance de spiritisme qui a tellement mal tourné que le père y meurt dévoré par les flammes. De sa soeur qui se marie a un tocard, de leur fille, Gemma, qui adore John, et qui le lui rend bien ; de la secte qui les tient sous son emprise, de l’homme qui tente de kidnapper Gemma, de Zed, amourette de passage, qui lui démolit la face, a ce kidnappeur dérangé, pour sauver Gemma de démons qu’elle-même n’a jamais pu fuir. Un tueur en série, qui le choisit pour cible ; sauf que ce tueur préfère tuer les familles de ses victimes, que ses cibles elles-mêmes. Son père y est passé, égorgé dans son salon. Cheryl et Gemma étaient les suivantes. John s’en est occupé avant. Il n’avait jamais tué personne de ses mains… mais faut un début à tout, il suppose. Les triomphes s’accumulent. Les gamelles aussi. La longue liste de ses fantômes s’allonge jour après jour. Son coeur se gangrène sous le poison de la culpabilité, mais ça ne l'arrête jamais avant la prochaine connerie. Ça ne le convainc jamais de raccrocher. On dit qu’il n’y a pas pire junkie que celui qui s’ignore, mais John pourrait bien être la preuve du contraire. Il se souvient même avoir essayé la désintox, quelques mois dans un camp de voyageurs, des hippies mordus de magie druidique, pour se tenir à carreau, pour tenter autre chose. Ca n’a pas duré. Ça ne dure jamais, les bonnes résolutions, avec lui. Le désespoir, parfois, le fait rechuter. Dépression, alcool, deuils en pagaille. A bout d’un moment, ça devient la norme. Et ça ne l'empêche pas de vivre, donc : après tout, pourquoi pas.

Il parvient à choper le pass avec un grognement de triomphe, et ramène son bras a lui pour déverrouiller sa cellule. Avant de sortir, il baisse les yeux sur la carte, et sent son coeur se décrocher dans sa poitrine.

Arkham Asylum.

Pardon ?

(Et ouais. Sacrée surprise, hein ? Hier t'étais à Londres, aujourd’hui, Gotham. Enfin, hier, façon de parler… Allez, fais un effort, souviens-toi. Quand tu t’es réveillé un matin, en crachant tes poumons. Littéralement. Cancer du poumon, le médecin t’a confirmé. Quelle sentence de merde, pour le grand Constantine, hein. Un truc aussi banal qu’un cancer. Même après tant d'années à fumer trente clopes par jour. Évidemment, t’as rien voulu savoir. Chimiothérapie ? Hell nah, toi, t’as tes solutions a toi, tu crois même pas à l'hypothèse d’un cancer tout ce qu’il y a de plus banal. Alors tu cherches, tu cherches, tu trouves pas, tu te désespères. Tu fais tes adieux à Cheryl et Gemma. T'écris une lettre à Chas, que t’abandonnes dans son taxi après une dernière dispute. Puis tu te tournes vers ta dernière solution, ton coup de génie. Tu vends ton âme. Trois fois. Sans que les deux autres partis ne soient au courant. Ils s’appellent le triumvirat de l’enfer, ses trois seigneurs primordiaux : the First, Second, and Third of the Fallen, les trois anges déchus par qui les enfers ont été réclamés. Satan et ses deux frères maudits. Tu leur vends ton âme, et lorsqu’ils viennent réclamer leur dû ? Ils ne peuvent pas se mettre d’accord sur qui l’emportera. La panique s’installe : si le pacte n’est pas honoré pour l’un des trois, l’honneur est bafoué, la guerre est déclarée - une guerre qui pourrait bien mettre les enfers à la complète merci du paradis et de ses anges. Une guerre civile qui signerait la fin des enfers. Alors, ils n’ont pas le choix, les trois loustics. Faut qu’ils gagnent du temps. Donc, tu peux pas crever tant qu’ils n'auront pas résolu leur différend. Et ils te sauvent la vie. Soignent ton cancer, entièrement. Oh oui, ils s’amusent à te torturer et te faire hurler de douleur bien au-delà qu’il est humainement possible de supporter, juste pour te faire payer à leur façon… mais tu survis. Tu survis, et t’es guéri, et ça t'a rien coûté. Quand les trois seigneurs ont disparu, t’as éclaté de rire. Et t’as ri, t’as ri, bon sang, parce que quelle plus belle victoire t’aurais pu espérer que celle-la ? Et puis tu t’es évanoui.)

Et depuis… plus rien.

Le néant.

Aucun souvenir jusqu'à ce qu’une vague et trois litres d’eau croupie dans les poumons ne le réveillent dans une cellule d’Arkham Asylum, de l’autre côté de l'océan atlantique.

C’est quoi cette blague ?
Péniblement, sa tête lui donnant l’impression d'être prête à exploser d’un instant à l'autre tant une migraine lancinante le tanse, John se faufile à travers un Arkham Asylum plongé en plein chaos, inonde, partiellement effondré. Par une ouverture, il parvient à échapper à l’attention des gardes qui ont survécu, sans doute trop occupés à gérer les patients plus urgents que lui (le Joker est censé être là, non ?), et dégringole a travers les bois entourant la bâtisse jusqu'à atteindre la rive de la baie… et sentir son coeur se décrocher dans sa poitrine.

Gotham.
Gotham intégralement sous les eaux.
Dans le ciel, les hélicoptères rugissent, et un sigle en forme de chauve-souris brille lugubrement dans le ciel.

Madness.
Madness is the only constant.

Avril 2023.

Le parfum du café lui chatouille les narines, achève de le réveiller tout à fait après une nuit agitée. Derrière son comptoir, Detective Chimp garde un oeuf sur le poste de télévision, et John suit son exemple. La Justice League rend des comptes à l'ONU, hein ? “Franchement, je les envie pas, ces gars-la. T’as les gens qui les traitent comme des dieux, et les autres qui voudraient les voir au bûcher.” “Ouais, les plains pas trop non plus. C’est eux qui décident de se balader en cape et collants au su et vu de tous, hein. Et qui, qu’ils le veuillent ou non, attirent l’attention sur les gens comme nous qui aimeraient garder profil bas.” “T’as pas tort, mais t’es quand même chiant, avec ton pessimisme. En parlant de profil bas, la GCPD t’a toujours pas mis la main dessus ?” “Nan. Trop occupés à chasser plus gros poisson que moi. Et la populace a vu passer tellement de faits divers sordides depuis mon arrestation, ils ont largement oublié ma tête depuis sa parution dans les journaux.” “T’as appris comment t’avais fini à Arkham alors ?” “Ouais. Implication dans une histoire de secte. Parait que j’en étais le leader, que j’ai exigé et obtenu le sacrifice de sans-abris pour des rituels satanistes… Une belle série de sornettes. J’ai dû me trouver au mauvais endroit au mauvais moment, comme d’habitude…” “Ouais, enfin, t’as toujours pas retrouvé la mémoire des six mois précédant le tsunami du psychopathe atlante, si ?”

… touché. Six mois de trou noir. Six mois entre le moment où il a forcé le triumvirat a lui soigner son cancer à Londres, et celui où il s’est réveillé à Arkham. Aucun souvenir. Page blanche. Et le sentiment dérangeant que quelque chose, une machination, une manipulation quelconque, est à l'œuvre, et que pour une fois, c’est lui qui en est la marionnette.

John finit son café d’une traite, et se lève en abandonnant quelques billets sur le comptoir de l’Oblivion Bar. Remontant le col de son trenchcoat, il pousse la porte, et se matérialise à nouveau a Gotham, la gorge saisie de l’odeur de pollution et de corruption rampante.

Bon.

Gotham. Tu voulais mon attention, ma belle ? Tu l’as. Alors dis-moi tout.
Qu'est-ce que t’essaies de me dire, et dans quel merdier tu m’as embarqué ?




Arthur Curry
Arthur Curry
One bad day
Autres facettes : Roman Sionis
Alias : Aquaman

Âge : 39 ans

Crédits : avatar ; Moonsthetic









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Sam 8 Avr - 15:20

Hello you ! brill

bienvenue le magicien, je suis tellement impatient de relire les aventures de ton John. hi On parlera lien très vite. heart


Hal Jordan
Hal Jordan
One bad day
Autres facettes : Richard Grayson - Jaime Reyes
Alias : Green Lantern

Âge : 36 ans déjà, bientôt 37

Palpitant : En couple depuis un bon moment avec la femme de sa vie, la seule et unique. Caroline Ferris

Crédits : panicstation









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Sam 8 Avr - 15:45

YOU, HERE suffit brill seum
COME HERE YOU BIG BOI bro


Jason Todd
Jason Todd
Damned prince of Gotham
Autres facettes : Orm Marius (Ocean Master)
Alias : Red Hood. Ombre qui s'abat pour broyer ses proies. Vigilante sans pitié. Homme névrosé. Fils abandonné.

Âge : 27 années d'enfer et de damnation. Jeunesse broyée, adolescence arrachée, renaissance brisée.

Palpitant : Cœur nécrosé qui parvient à peine à s'agiter. Si tu n'en avais pas besoin pour respirer, tu l'aurais déjà fait amputer.

Crédits : wicked game (avatar)









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Sam 8 Avr - 15:45

notre magicien fucked up préféré gaah tellement contente de te retrouver pour cette nouvelle aventure brill


Tracy Trevor
Tracy Trevor
One bad day
Autres facettes : -
Alias : Je n'en ai pas encore, certains voudraient que je n'en ai jamais.

Âge : 37 ans ᯽ Les années passent mais bientôt, elles ne passeront plus de la même façon.

Palpitant : Libre et vide ᯽ Il attend de se remplir. Peut-être bien que je suis un peu trop occupée ailleurs ?

Crédits : Avatar : Proserpinegraphics ᯽ Gifs : may0osh.









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Sam 8 Avr - 15:49

Moh Johnnie gaah
Hâte de te recroiser en jeu ! oups


Harvey Bullock
Harvey Bullock
One bad day
Autres facettes : -
Alias : Donut

Âge : 51 ans

Crédits : Obaseb









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Sam 8 Avr - 15:54

TOI!!! VIENS ICI!!! CALIN!!! C'EST NON NEGOCIABLE!!

brill excited ass


Clark Kent
Clark Kent
Symbol of hope
Autres facettes : -
Alias : man of steel, the last son of krypton, angel of metropolis... just your superman, nothing more, nothing less

Âge : ((37 y.o.)) autant d'années d'un héritage dépassant l'entendement et d'un équilibre longuement cherché avant de pleinement s'en épanouir au travers une double vie qui ne s'arrête jamais.

Palpitant : ((you're my world, lois lane)) curiosité intriguée, coeur intrépide aux allures indomptables, confrontation entre deux amoureux de la vérité étant fait pour se connaître, se rencontrer, s'épanouir et s'aimer... aucune réalité ne peut exister sans que clark aime sa loïs

Crédits : brainster (avatar) & in-love-with-movies (gif) & julia (gif) & fuckyeah-clois (gif) & julia (gifs sign) & ross (code sign)









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Sam 8 Avr - 19:13

Je connais tellement rien à la Justice League Dark et, par extension, rien à Constantine à part le vieux film avec Keanu Reeves loool loool loool

Du coup, hâte de suivre tes aventures pour en apprendre plus sur ton petit Johnny hihi brill iheart


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Dim 9 Avr - 4:38

Mr not today Satan russe
Ravi de voir ce perso de fou joué, en même temps, il l'est rarement pas tant il est parfait bigsmile
Puis, t'as l'air tellement à l'aise avec, me gusta aww


Timothy Drake
Timothy Drake
One bad day
Autres facettes : -
Alias : Red Robin (anciennement Robin)

Âge : vingt-cinq ans.

Crédits : sadja









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Dim 9 Avr - 6:51

Bienvenuuuue ConstantEEN hi heart


Donna Troy
Donna Troy
One bad day
Autres facettes : star sapphire
Alias : TROIA | vestige d'une guerre, survie d'un peuple. le nom qui n'a pas été choisi par hasard et qui prend tout son sens au fil des années

Âge : 5 THOUSAND YEARS | l'éclat impacte toujours autant sa peau d'une éternelle jeunesse, pourtant c'est son âme qui présente les stigmates du poids des années

Palpitant : PERFECTLY ENDOMMAGED | transpercé par la flèche, trempé dans les remords, à jamais confié à l'archer rouge qu'elle ne cessera jamais de vouloir retrouver

Crédits : cpoilfaitdestrucs (av), me (aest ) me (crack), adastra (code sign)









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Dim 9 Avr - 8:58

perfection has a name and you are gaah , toujours aussi fan de ta plume et des feels que tu fais passer. j'espère qu'on aura la chance de se croiser eyes . bienvenue à la maison bighug .

en souvenir de ce temps là:


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Dim 9 Avr - 13:06

Ca fait tout plein de monde à taguer, du coup à la place je vous dis merci à tous pour vos petits mots, ça fait tellement plaisir de retrouver les anciens et de rencontrer les nouveaux pour cette nouvelle aventure brill brill brill

@Clark Kent J'espère ne pas te dégouter du personnage alors loool nan en vrai merci beaucoup, hate de découvrir ton Clark aussi brill

@Roy Harper Moh tu me fais tant plaisir brill j'ai dans le discord tes références à l'arc sur son cancer, j'étais trop contente de voir quelqu'un qui connaissait le personnage aussi hi j'espère qu'il sera à la hauteur de tes attentes !

@Donna Troy AW YOU brill ce panda qui ravive tant de souvenirs loool j'espère qu'on se trouvera un lien totalement improbable entre Donna et John, tellement hâte de rp avec toi à nouveau brill


Vale Falcone
Vale Falcone
One bad day
Autres facettes : Y'Mera Xebella Challa
Âge : 26 ans ‡ Le quart d'un long siècle à peine franchi, les années qui esquissent sur la svelte ces marques indélébiles d'une vie qui n'en est plus vraiment une. Et le temps qui s'écoule, l'existence qui s'effiole douloureusement.

Palpitant : Vénus indomptée, indomptable. Vénus qu’on ne saurait prendre au sadisme de l’amour lancinant, qu’on peine déjà à soumettre à sa volonté le tumulte des émotions nécrosées. Nerfs d’acier qui encage ce myocarde pour ne point le voir s’échapper, animosité de laquelle on anesthésie ces palpitements qui voudraient se rebeller, il n’y a point de place pour l’affection dans cette vierge de fer cadenassée.

Crédits : Code signature: Wiise | Icons et avatars: Moonsthetic









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Dim 9 Avr - 16:19

JOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOHN gna gna gna

Quand on m'a dit que tu reprenais le vieux plouc, j'étais sans surprise, mais aussi complètement sous le charme! C'est bien connu, personne ne saurait le jouer aussi bien que toi! Alors bienvenue, bienvenue et encore bienvenue. Je suis mega-grave-super-intensément-hyer heureuse que tu sois là!

On devra ABSOLUMENT se concocter un truc. russe Si tu le vieux bien, of course. russe


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Invité









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Dim 9 Avr - 21:38

TOI + JOHN = LE COMBO DE LA PERFECTION PARFAITE crying omfg
tellement, tellement contente de retrouver John sous ta plume, c'est divin, c'est magique *ba dum tss* et ça vend du rêve, toujours plus omg obviously je viendrai t'embêter pour des liens en attendant que la cousine arrive helloyou


Kara Kent
Kara Kent
One bad day
Alias : Kara Kent est déjà un alias, son véritable nom reste à ses yeux Kara Zor-El, réminescence d'une planète disparue. Elle répond aussi au nom de Supergirl.

Âge : 20 ans










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Lun 10 Avr - 6:40

Je ne vais pas te dire que j'ai hâte de voir ce que tu vas faire avec ce perso, je sais déjà que ce sera géniale, alors juste heureux de te revoir ici et amuse toi bien avec ce perso qui te colle à la peau! ^^


Doomsday Clock
Doomsday Clock
Admin









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Lun 10 Avr - 10:33

Bienvenue
à la maison





You tore me down. Broke my heart into a million pieces. Made it so I could never put that puzzle back together ever again.

Cette fiche à en tomber. Ce parfait mélange agréablement surprenant de la seconde et troisième personne. Ce drame qui poignarde le kokoro... russe C'est un vieux plouc ce john, un arnaqueur de première, un scélérat, mais tu le rends à la fois si détestable et attachant qu'on a envie de le prendre dans nos bras et lui faire un long hug. russe JE NE ME PEUX PLUS DE TOUS CES SENTIMENTS PARTAGÉS.  gna

Évidemment, je te valide sans détour. C'est une chance de te lire, j'ai tout dévoré d'une traite. Continue de nous charmer avec cette plume sublime et ce personnage d'une troublante profondeur. heart  heart  heart

Les compétences ont été ajustées. Maintenant, il va falloir les faire grimper!

Et maintenant...
Félicitations ! Tu peux maintenant faire tes premiers pas dans le monde de Gods & Monsters. Nous partons du principe que le contexte, le règlement, les mécaniques et les annexes ont été correctement lus, ils sont primordiaux pour la suite de tes aventures parmi nous.

En parlant d'aventures, tu peux commencer par remplir avec soin ton profil, puis aller poster une fiche de liens pour permettre aux membres de tisser des relations avec ton personnage.

Si ce n'est pas déjà fait, je t'invite à aller lire l'annexe sur les Lexcoins, un système de point qui va te permettre d'accéder à des avantages, comme un rang ou la création d'un scénario.

Ensuite, puisque c'est quand même utile pour garder le contact avec tes camarades, on te conseille d'aller créer tes réseaux sociaux et ton téléphone.

Pour finir, n'hésite pas à te joindre à nous dans les jeux pour passer un bon moment de détente (et potentiellement gagner des Lexcoins).



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